LE FILM QUE JE VIENS DE VOIR

Gonzo a écrit:

Pascal Sevran et Dave on fusionné, en plus de ça ils ont piqué des fringues à Derrick

Et l'allure de caniche de Michel Drucker!

Newo O Taf

Decption Point, c'est Deception tout court. La fin est hallucinante dans mon rare souvenir.
N'empêche, même naze, il y a une fin, c'est pourquoi on peut la qualifier de naze.
Mais quand il n'y en a pas, alors que l'histoire, l'écriture, que sais-je encore ?, pouvait être une réussite, ça laisse une mauvaise impression de travail non accompli, ou d'un manque d'imagination de l'auteur, ou du réalisateur, qui laisse au lecteur, ou le spectateur de choisir ce qu'il souhaite dans son imaginaire.
Je ne regarde pas un film pour créer l'histoire, juste pour me laissé emporter dans l'histoire.
Je veux bien réfléchir sur le sujet (moral, philosophique, historique, ...) du film après l'avoir vu, mais pas réfléchir sur ce qui peut arriver aux héros dans tel ou tel cas. Ce n'est pas mon boulot de spectateur ! Sinon, on me fait une réduction ;)

Newo a écrit:

Je veux bien réfléchir sur le sujet (moral, philosophique, historique, ...) du film après l'avoir vu, mais pas réfléchir sur ce qui peut arriver aux héros dans tel ou tel cas. Ce n'est pas mon boulot de spectateur ! Sinon, on me fait une réduction ;)

Ça tu le fais tout le temps, même inconsciemment. On appelle ça l'anticipation, c'est quelque chose qui tient du réflexe, que tu lises un bouquin ou encore plus quand tu regarde un film. Ce qui est intéressant, pour le scénariste, c'est de jouer avec l'anticipation du spectateur et de le surprendre. Toi ce que tu n'aimes pas, c'est la frustration qui découle du fait que le film se foute de ta gueule.

Mais ça veut dire que tu ne peux pas regarder un film avec du suspense dedans? Si t'anticipe pas? Du coup t'es jamais surpris quand le putain de coupable est dévoilé au dénouement tout ça, si tu t'es pas posé la question avant vu que c'est pas ton boulot?

(note que je dis ça dans le vent absolu, ça frise l'exercice de style, vu que je sais très que je cause à Newo-qui-fait-son-polémiste-au-sourire-fatigué!)

Il y a des fins qui laissent des points de suspension ... Qui ne donnent pas une solution claire, ou une morale attendue. Si c'est bien fait, ça ne me dérange pas. Une fin énigmatique, où l'on peut se poser encore une ou deux questions (exemple ... exemple ... exemple ... Basic Instinc par exemple dans mes souvenirs), si c'est bien amené montrera un savoir-faire du scénariste ou de l'écrivain. Mais ce n'est pas donné à tout le monde. Et j'ai l'impression que de plus en plus je tombe sur des films ou les réalisateurs ne savent pas comment le terminer, donc ils ne le terminent pas.
Je le remarque surtout sur des films français.

Avatar
Je me suis finalement motivé pour aller le voir...
J'ai trouvé ca pas terrible du tout du tout.

Pâle scenario déjà vu trop souvent, traditionnelles personnages

Spoiler:

Sujet alacon, l'intégration difficile du bonhomme, écolo pour deux sous, quoi que ca aurait pu être intéressant si Cameron avait zapper tout le mysticisme bien trop présent dans le film.

Spoiler:

Graphiquement, c''était mon premier film en 3D, alors c'est jolie, mais quand ca bouge trop, c'est tout flou, et certain plan ressemble plus à un photomontage qu'a du 3D... Mais les décors sont magnifiques, et les Avatars sont quand même super bien fait.

Mauvaise foi certainement, mais je me suis limite fait chié.

Bar-Jakk a écrit:

Newo a écrit:

Je veux bien réfléchir sur le sujet (moral, philosophique, historique, ...) du film après l'avoir vu, mais pas réfléchir sur ce qui peut arriver aux héros dans tel ou tel cas. Ce n'est pas mon boulot de spectateur ! Sinon, on me fait une réduction ;)

Ça tu le fais tout le temps, même inconsciemment. On appelle ça l'anticipation, c'est quelque chose qui tient du réflexe, que tu lises un bouquin ou encore plus quand tu regarde un film. Ce qui est intéressant, pour le scénariste, c'est de jouer avec l'anticipation du spectateur et de le surprendre. Toi ce que tu n'aimes pas, c'est la frustration qui découle du fait que le film se foute de ta gueule.

ca c'est bien vrai !

Ce soir j'vais revoir Freaks, mais au cinéma, à cause que y'a une soirée Freaks au cinoche pas trop con près de chez moi.

Chuis tout gets.

J'le connais par cœur mais putain, au ciné! Youpi...

https://www.dailymotion.com/video/x27dhn_freaks-vost-tod-browning_shortfilms

Peut-être un des films les plus cruels qui me viennent à l'esprit quand on parle de cruauté. Et vu là où je bosse en ce moment, autant dire que ça me cause gravos.

Geoduck Masqué a écrit:

Bar-Jakk a écrit:

Newo a écrit:

Je veux bien réfléchir sur le sujet (moral, philosophique, historique, ...) du film après l'avoir vu, mais pas réfléchir sur ce qui peut arriver aux héros dans tel ou tel cas. Ce n'est pas mon boulot de spectateur ! Sinon, on me fait une réduction ;)

Ça tu le fais tout le temps, même inconsciemment. On appelle ça l'anticipation, c'est quelque chose qui tient du réflexe, que tu lises un bouquin ou encore plus quand tu regarde un film. Ce qui est intéressant, pour le scénariste, c'est de jouer avec l'anticipation du spectateur et de le surprendre. Toi ce que tu n'aimes pas, c'est la frustration qui découle du fait que le film se foute de ta gueule.

ca c'est bien vrai !

Hahahahaha j'étais sur que t'allais charrier, enflure!

Je hais Shreck parce que à la fin, les anormaux se retrouvent entre anormaux, y'a pas de mésalliance, et ceci parce que ça semble être dans l'ordre des choses et que tout est bien.

J'aime Freaks parce que les anormaux se retrouvent entre eux juste parce qu'ils possèdent l'humanité qui manque à ces sales connards de normaux qui les trompent, les moquent, les manipulent et même s'entretuent.

J'aime aussi Freaks parce que c'est pas compatissant du tout, comme des machin à la Rainman ou le Huitième Jour machin tout daubé, au contraire, c'est une illustration d'une fierté d'être un "monstre", d'une conscience de l'être, de faire partie d'une communauté qui a sa propre dignité et son humanité.

C'est bien sûr une vision d'artiste, comme on dit. Mais elle me plaît.

Pis bon, j'aime surtout ce film parce que visuellement, c'est excellent.

bon j'ai regardé Inglorious bastard
j'suis completement tombée amoureuse du personnage Hans Landa.
mon sex appeal c'est reveillé. autant que pour une gamine de 13 ans devant le vampire de Twilight.

bon c'est très drole, l'histoire est a chier cela dit.

Océans
http://oceans-lefilm.com/
De Jacques Perrin et Jacques Cluzaud
Superbes images ET sons.
Ce n'est pas à proprement parlé un film documentaire puisque l'on apprend peut de choses (très peu de voix-off donc très peu d'explications des images).
ce qui est choquant, c'est de voir les parrains ou sponsors dès le début : EDF, Total, Veolia, Crédit Agricole, ... Pas très écologie durable tout ça ;)
Mais beau travail quand même. Ne pas y aller fatigué car on aurait tendance à fermer les yeux et s'endormir bercé par la musique.

Je viens de terminer The Deer Hunter et j'me suis pris une grosse baffe dans la tronche, ça tourne bien dans le crane.

the story of anvil. Ai pas vu mais ça me botterai vraiment bien. Seulement y passe pas partout...

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18942133&cfilm=138788.html

sinon Inglorious basterds, ai trouvé bien réalisé et tout, quelques personnages sympas, bien aimé l'interprétation de bard pit, mais je sais pas j'étais pas dedans, j'lai trouvé un peu long par moment. comme boulevard de la mort sympa, mais sans plus...

Vu hier Coraline.

Bah la p'tite histoire passe bien tranquillement, avec des chouettes choses, de jolies choses, des choses un peu plus sombres, inquiétantes, réussies. De l'anim' cool. Qui défonce huit-cent fois et des brouettes des saloperies de merde comme Avatar (tiens j'avais pas donné mon avis: je vomis le culte de la performance, aimer Avatar parce que c'est juste bien fait, c'est comme aimer un film de Besson parce que c'est juste bien fait). Ouais c'est pas comparable, mais ça me donne une raison de râler, donc c'est bien.

Ça fait penser à la fois à Beetlejuice et ça rappelle la filiation Mr Jack et son Noël chelou.

Proche d'un Tim Burton inspiré, pour Beetlejuice, mais "enfin" par Henry Selick sans le poids du nom du Tim (j'insiste... pour Mr Jack...)

https://www.youtube.com/watch?v=Js7wxoqeVK0

A voir, carrément, j'dirais.

La question que j'ai entendu en en causant aujourd'hui:

Un film anti Mai 68, ou un film anti Meilleur des Mondes?

(moi je penche pour la anti-pro-Huxley-attitude)

Avatar, moi perso ça passe pas. J'y arrive pas.

Oui, je te suis pour Mr Jack le honni.

A la fois, j'essaye de parler à tout le monde.

Mais cent fois d'accord avec toi pour le débat Henry Selick/Tim Burton -mais y'a pas de débat- (même si j'aime bien plein de choses à Burton, et sans hésiter Beetlejuice, Edward Scissorhands, Ed Wood ou Sleepy Hollow en tête... donc rien qui me botte pour de vrai depuis 1999) (Big Fish? ça parle de plein de trucs qui me causent très personnellement, donc je le cite pas, ma subjectivité est über over subwoofer maximale)

Zabos a écrit:

Vu hier Coraline.

Bah la p'tite histoire passe bien tranquillement, avec des chouettes choses, de jolies choses, des choses un peu plus sombres, inquiétantes, réussies. De l'anim' cool. Qui défonce huit-cent fois et des brouettes des saloperies de merde comme Avatar (tiens j'avais pas donné mon avis: je vomis le culte de la performance, aimer Avatar parce que c'est juste bien fait, c'est comme aimer un film de Besson parce que c'est juste bien fait). Ouais c'est pas comparable, mais ça me donne une raison de râler, donc c'est bien.

Ça fait penser à la fois à Beetlejuice et ça rappelle la filiation Mr Jack et son Noël chelou.

Proche d'un Tim Burton inspiré, pour Beetlejuice, mais "enfin" par Henry Selick sans le poids du nom du Tim (j'insiste... pour Mr Jack...)

https://www.youtube.com/watch?v=Js7wxoqeVK0

A voir, carrément, j'dirais.

La question que j'ai entendu en en causant aujourd'hui:

Un film anti Mai 68, ou un film anti Meilleur des Mondes?

(moi je penche pour la anti-pro-Huxley-attitude)

Tu as à mon avis interprêté l'over-bruit (oui) d'Avatar à ta façon. Ce que les gens ont aimé ce n'est pas que ce soit bien fait, c'est que ça les emmène sur un autre monde, que ce soit très immersif. Un peu le côté "trip" quelque part. Le fait que ce soit bien a permis cet effet mais ce n'est pas ce que les gens disent avoir kiffé.

bref je trouve que mêler Avatar et "culte de la performance" est totalement à côté de la plaque.

Ouais... je me fonde à mort sur les "l'histoire et les persos, c'est merdique mais putain, quelle performance visuelle" que j'ai entendu à la pelle.

J'ai vu un peu mais pas en entier (ouais, dès fois au ciné t'as des messages qui font que faut ripper vite du ciné) donc j'ai une vision parcellaire du bordel.

Mais je suis parti en me disant que bon, je perdais pas bézef. A part le prix de ma place, bien entendu.

L'immersion n'est-elle pas qu'une conséquence de la performance? Se suffit-elle à elle-même?

J'aimerais bien avoir ton avis développé à ce sujet.

(j'avoue que depuis Tapie et les louanges entendues à son propos du type "quel connard, mais quel génie", je suis un peu froid avec ce genre de choses)

Coraline j'avais trouvé très très bien, vraiment chouette et tout, l'animation excellente, le graphisme bien pété, mais je peux pas m'empêcher de penser que c'est quand même du gros suçage sur Alice au pays des merveilles fagoté façon XXIe siècle. Évidemment que beaucoup de choses n'ont rien à voir l'un avec l'autre, mais la base est quand même très similaire. En soit c'est pas dérangeant, mais je me demande à quel point c'est assumé.

Et concernant Tim Burton, je peux pas. Je trouve ça, la plupart du temps (comme dans Edward, Charlie, Nightmare, etc...) vraiment niais. Et le background graphique me laisse absolument indifférent. Question de goûts. Même pour Beetlejuice, j'trouve tellement en dessous de la série animé, qui elle est carrément psychédélique, qu'à côté le film parait tout pâle.
Le seul film potable (que j'aie vu) de Burton c'est Mars Attack, même si il est chaque fois considéré comme une bouse.

Zabos a écrit:

Ouais... je me fonde à mort sur les "l'histoire et les persos, c'est merdique mais putain, quelle performance visuelle" que j'ai entendu à la pelle.

J'ai vu un peu mais pas en entier (ouais, dès fois au ciné t'as des messages qui font que faut ripper vite du ciné) donc j'ai une vision parcellaire du bordel.

Mais je suis parti en me disant que bon, je perdais pas bézef. A part le prix de ma place, bien entendu.

L'immersion n'est-elle pas qu'une conséquence de la performance? Se suffit-elle à elle-même?

J'aimerais bien avoir ton avis développé à ce sujet.

(j'avoue que depuis Tapie et les louanges entendues à son propos du type "quel connard, mais quel génie", je suis un peu froid avec ce genre de choses)

Evidemment l'immersion est une conséquence de la "performance" si tu considère le jusqu'auboutisme/talent de Cameron et de ses équipes comme de la performance. Sans ce travail hyper lêché sur les décors, les images de synthèse, on aurait pas eu le même degré d'immersion.

Et c'est normal, c'est un film de SF dont le but est de plomger le spectateur dans un univers inédit (pas issu d'une franchise déjà existente). Pour que cet univers soit immédiatement crédible il fallait beaucoup de travail (de la performance ? mouais bof).
Mais quand en plus tu vois les scènes d'action qu'il arrive à te tourner dans cet univers ça devient très impressionnant.

Après Cameron le dit lui même, il fait du cinema grand public, son but (sans même se faire tordre le bras par des producteurs) c'est de faire du grand public, de faire de son film l'oeuvre la plus universelle possible.

C'est là que pour moi le bât blesse. On se retrouve confronté à des persos manichéens, tout est noir ou blanc, et quand le héros doit choisir entre els deux races on ne doute pas un instant qu'il choisira les navi, vu que les humains sont vraiment des gros enculés.

A la base il devait montrer la terre en train de crever et les humains venaient chercher les ressources sur pandora pour sauver la terre, l'humanité, ce qui était bien plus fort et plus difficile comme situation. Au lieu de ça on se retrouve avec des humains qui viennent piller la planète pour s'acheter des twix, comme ça au moins y a un méchant et un gentil et même ton cousin texan est à l'aise avec le film.

Pour moi c'est ce point qui fait que je peux pas kiffer complètement ce film. C'est trop "Walt Disneyesque".

Mais du point de vue réalisation, Cameron et très bon, ses équipes ont fait un travail impressionnant sur tout le visuel et je vois pas pourquoi ce serait plus de la "performance" que dans un autre film.

Lu, noté, enrichissant.

J'ai vu aussi y'a pas des masses Jacob's Ladder.

Bon, outre que Elizabeth Peña y est noiraudement 80's fort jolie et on est pourtant loin du sujet du film, ça m'a marqué grave.

D'après: http://www.horreur.com/recherchesimple.php?type=avec&chaine=%20elizabeth%20pe%F1a (que ma paresse soit bénite à maintes reprises)

Citation :

L’échelle de Jacob" suit l’histoire de Jacob Singer (l’excellent Tim Robbins), un blessé de la guerre du Vietnam rapatrié aux Etats-Unis. Depuis son retour au pays, il semble avoir retrouvé une vie normale et stable : employé des postes, il vit avec sa compagne, Jezabel, et son chien dans un modeste appartement new-yorkais. Pourtant, cela fait quelques temps qu’il est en proie à de surprenantes hallucinations mêlées d’images fortes de la guerre. Plus étrange encore, il est également hanté par le souvenir de la vie qu’il menait lors de son premier mariage, antérieurement au conflit américano-vietnamien. A cette époque, il exerçait la fonction de professeur d’université, était mariée à Sarah dont il eut trois enfants et son fils Gabe (Macaulay Culkin !), son préféré, était encore vivant. Se sentant en outre pourchassé par des forces obscures lui étant hostiles et cherchant même à le tuer, il confesse ses troubles à d’anciens compagnons d’armes semblant souffrir curieusement des mêmes maux. Alors que ses pairs l’abandonnent peu à peu, Jacob trouve néanmoins du réconfort auprès de Louis (Danny Aiello), son chiropracteur, fidèle samaritain, toujours là au bon moment. Mais les visions se succèdent sans relâche, si bien que Jacob en vient à douter de son état mental, d’autant qu’il commence à mélanger les différentes périodes de sa vie…
Quel secret pèse alors sur Jacob et ses comparses ? Que s’est-il vraiment passé durant cette maudite guerre pour que quelqu’un souhaite sa mort ? Qui est responsable ? Et qui est-il véritablement ?

Punaise, ce genre de film où sans te décrocher du truc, le film te tient dans le flou et te calme à la fin au dénouement. En plus, y'a toute cette ambiance urbaine glauque US années 80 qui traîne pas loin derrière et que j'aime.

Je me suis laissé trimballer comme un touriste passif pas à sa place jusqu'au la fin, et c'est bon. Autant à Disneyland ça m'aurait gavé, autant là, je suis sorti fin heureux, avec encore pas mal de questions en tête malgré le dénouement plutôt clair (une deuxième session fut vraiment éclairante) (Newo si tu me lis, ah ah ah).

J'aime bien, tout ça a un côté précipice au-dessus duquel tu hésites à te pencher, à cause de ta santé mentale qui réclame à rester correcte.

Et le réalisateur? Adrian Lyne... oui, oui, le garçon de Flashdance.

Etonnant, non?

A 8 ans? Oui, sûr. Et même vachement plus vieux, hein.

J'étais sûr que tu ferais référence à Star Wars tôt ou tard, même en biais, pour le peu que j'ai vu d'Avatar.

Immersion, quand tu nous tient...

Cap'tain Niétro a écrit:

bon j'ai regardé Inglorious bastard

Basterds. En fait. Inglorious Basterds.

Un bon moment néanmoins, sans grimper aux rideaux non plus.

En continuant sur la SF, chuis impatient de voir ce que riddley scott va sortir comme 5èmr Alien, un préquel d'après les infos, surtout voir ce qu'il fait 30 ans après le premier.

"Une année en provence", c'était tellement bien...