LE FILM QUE JE VIENS DE VOIR

Zabos a écrit:

J'ai vu Boys don't cry.

J'ai du mal à me faire un avis. Ça m'a marqué, mais j'arrive pas à prendre de recul...

Quelqu'un peut-il/elle m'influencer?

Il existe egalement un documentaire, sur la vrai Teena, Brandon Teena Story mais il n'existe qu'en anglais (tu le trouve sous Emule normalement).
Si ça peu t'aider a te faire une idée vis a vis de l'"evenement". Apres en se qui concerne le film, il s'agit d'un l'histoire simplement (avec quelques adaptations), ainsi peut etre qu'il n'y a pas de recul evident a prendre.

http://orange.blender.org/

Moi j'ai regardé ça, c'est un ptit film d'animation en 3D gratuit faut uniquement avec des logiciels completement gratuits...c'est pas beau ça? :)

ICHI THE KILLER de takechi miike

Tres tres tres grosse claque. Une bombe. Merci Yann; j'ai mis le temps pour le voir, mais putain...j'ai même préféré à old boy.
Nom de dieu, des scènes gores de chez gore (dont des scènes de torture comme j'en ai jamais vu) dans un film qui mélange polar et drame psychologique...
Halucinant.

ptaing faut trop que tu voie Suicide Club, un film totalement glauque du master Sono Shion. Des scène méga cultes comme celle du suicide collectifs de 54 jeunes étudiante nippones a la fois.
Rah je bande...

hier soir j'ai maté world traveller adventures. un doc tekno bien terrible, en 4 partie: un reportage sur spiral tribe, en gros surtout des interviews des membres; ensuite desert storm en bosnie, puis sound conspiracy en inde et enfin l'african expedisound. le principe c'est des gens qui partent poser du son avec des camions et bus dans d'autres pays, parfois avec nouritures, bouquins a donner aux populations, et qui montrent leur rencontres, leurs galeres et les teufs. il y a moins d'images des teufs ou ils posent leur son que ce que j'aurais pensé, c'est surtout concentré sur les voyages, mais c'est vraiment excellent, et ça fait envie :D

starsky a écrit:

ICHI THE KILLER de takechi miike

Tres tres tres grosse claque. Une bombe. Merci Yann; j'ai mis le temps pour le voir, mais putain...j'ai même préféré à old boy.
Nom de dieu, des scènes gores de chez gore (dont des scènes de torture comme j'en ai jamais vu) dans un film qui mélange polar et drame psychologique...
Halucinant.

C'est vrai qu'il est chouette, hein ?
Du même réalisateur, essaye de choper Visitor Q. C'est dans un autre style mais c'est un grand, grand moment de cinoche.

Ichi the Killer et Visitor Q sont géniaux.
Récement j'ai chopper Audition et Hapiness Of The Katakuris (La Mélodie du malheur) de Miike, mais pas encore mater... il parait aussi que Zebraman est bien.

Audition est sans doute le plus connu du grand public, mais pas forcément le meilleur bien qu'il ne soit pas dénué d'interet non plus!

Happiness of the Katakuris est super, complètement barré et loin des scénarios ultra violents ou torturés que Miike peut pondre. C'est très léger et assez rigolo!

Perso celui que j'ai préféré de Miike pour l'instant est Visitor Q, de loin. Y a la série des Dead or alive aussi qui parait-il est géniale, mais j'ai pas encore vu!

Zebraman est sympa et bien déjanté, à voir aussi si on aime Miike!

CLOCKERS de spike Lee

j'ai la flemme, je m'autoquote du forum dynam

Citation :

Clockers de spike Lee
Harvey Keitel et John TUrturo en flics ripoux, mais avec états d'âmes ;
Deux frangins aux vies opposées (le premier vend de la came et a un casier violent, le second père de famille, travaille et refuse toute coruption) méllés à une histoire de meurtre...
Ce film est une chronique de la vie quotidienne d'un quartier de brooklin, une fresque qui dépeint des charactères jamais complètement bons ou mauvais, mais tous paumés, en sursis. Les rares qui font tout pour s'en sortir, qui luttent au quotidien, sont rattrappés par les problèmes des autres, par les extravagances de leurs proches...
Un excelent film, dont le thème pourrait finalement être la famille. Celle qui veut vous protéger. Celle qui vous apporte des ennuis. Et celle (du biz) beaucoup plus dangereuse, rempàlie de faux semblants et de leures. Un film sur la famille et le symptome du modèle...

Welcome to Sarajevo

Grande-Bretagne, 1997

Michael Winterbottom

L'histoire met en scène un journaliste, Michael Henderson, resté dans Sarajevo lors du siège. Il loge dans le désormais célèbre "Holliday Inn", jaune et marron, avec une façade exposée aux tirs, et trois autres relativement plus sûres. C'est de là que les journalistes, qui y ont établi leur QG, partent en meute compacte vers les zones de combat, les zones de bombardement et s'abattent en nuée sur les lieux où des corps gisent. Toujours tiraillés entre le sentiment d'être utiles et la fascination morbide (et rentable) de la mort, même si beaucoup penchent plus vite vers la rentabilité.

Cela dit, les personnages rendent aussi cette espèce de frénésie du danger, le décalage qui intervient rapidement dans les contaxtes de guerre, les attitudes inhabituelles, les personnages étranges qui émargent de nulle part, la bravoure qui est souvent une simple perte de repères.

Le héros, Michael Henderson, fait partie de ces meutes, et il se retrouve en particulier dans un orphelinat datant d'avant-guerre mais malheureusement situé en plein sur cette ligne de front urbaine qui fait que l'on ne sait jamais trop qui tient le bloc voisin ni d'où peuvent pleuvoir les balles. Il y sympathise réellement avec les gens du lieu, il s'y attache finalement, promettant en particulier à une gamine de l'emmener un jour voir l'Angleterre. Il lance cette phrase un peu à la légère, transcendé par le contexte extraordinaire de la guerre, quand elle la vit comme un quotidien.

Un jour, alors que l'orphelinat a déjà été bombardé et incendié, il quitte Sarajevo. Son travail de journaliste s'achève, même si la guerre, elle, continue. Mais la môme n'avait pas pris la chose à la légère, et Henderson n'a pasd'autre choiw que de l'emmener avec lui, en toute illégalité.

Elevé en Grande-Bretagne dans sa famille, elle se déracine peu à peu et revient à la vie, elle qui n'a jamais eu ces racines, abandonnée par sa mère... mère qui justement se manifeste un jour, depuis la ville en guerre, et réclame sa fille. Henderson repart alors pour Sarajevo rencontrer la mère, bien décidé à garder avec lui celle qu'il considère comme sa fille.

C'est bizarre comme film. Un mélange de cinéma et de faux documentaire, caméra à l'épaule, le tout monté avec de véritables images d'archives. J'ai bien aimé la rigueur du truc. Chaque partie est très nettement marquée, et l'on sait toujours quand il s'agit de docu-fiction ou d'images réelles. Par contre, la réalisation n'est pas en elle-même un chef-d'oeuvre, même si elle assez bien rythmée. Les personnages sont assez attachants, urbains, bien intégrés à la ville, un chouilla convenus, mais sans que ce soit choquant. Un film intéressant, qui montre cette ambiance étrange d'une ville en guerre dans les années 90, du point de vue avoué d'un personnage extérieur au sujet mais qui le hante pourtant.

On peut le considérer comme "pas assez sévère" contre les journalistes dans le contexte de la guerre, mais j'apprécie justement pas mal le fait qu'il ne s'agisse pas d'un manifeste, mais seulement d'une exposition orientée des faits, au-delà de la trame dramatique, qui tient la route, d'une exposition et non d'une démonstration.

Il démontre aussi le tiraillement entre l'ingérance, comme on dit, et la passivité, les conséquences et les héroïsmes de l'une comme de l'autre, les cas de conscience que pose ce dilemme. Sur le même thème de la Bosnie, le génial téléfilm en deux parties Warriors de Peter Kominski est particulièrement recommandé et recommandable...

Pas mal pas mal. Intéressant. Largement plus que le pas si bon que ça voire mauvais même si ça m'arrache un peu la gueule de dire ça Harrisson's flowers de Chouraqui, qui fait un peu pitre à côté de Winterbottom ou Kominski. Sauf que dans Harrisson's Flowers y'a Adrien Brody, et que j'aime cet homme, et Elias Koteas que j'aime un peu aussi mais moins.

Je viens de revoir Le Septième sceau de Bergman, c'est le plus grand et le plus beau film que j'ai pu voir, avec ce genre de sortie : " si le monde est imparfait, l'amour est parfait dans son imperfection".

starsky a écrit:

CLOCKERS de spike Lee

j'ai la flemme, je m'autoquote du forum dynam

A voir aussi CROOKLYN de spike Lee, je crois qu'il avait realisé les deux le même année. En fait c'est sur le Brooklyn de son enfance ou il n'y avait pas encore trop de drogue mais beaucoup de jazz. La bande son est exeptionnelle, c'est un de mes prefere de Spike Lee.

Jai vu L'OEIL DES ZAPATISTES

5 courts métrages faits par les zapatistes sur leurs combats, leurs actions, leurs revendications, ...
vraiment très interessant, ça fait longtemps que je voulais développer ce sujet... leur quète d'autonomie, leur façon de s'organiser, leur campagne pour informer, sensibiliser les autres communautés...
plus de détails :
http://www.co-errances.org/article.php3?id_article=865
Même si ils vivent ds des conditions difficiles, ils ont réussi et luttent pour s'approprier totalement leur vie, leur travail, leur terre, les infrastructures, la libertés de décider, de s'exprimer. Le but étant de se détacher complètement de l'Etat.
En comparaison, tu t'apperçois que toi, rien ne t'appartient, ni ton travail, ni tes décisions, ni la rue, on est toujours dépendant de quelque chose, de quelqu'un, ya toujours des intermédiaires.

Yavait un zapatiste présent après, on a pu l'interroger et débattre. Il nous a expliqué les difficultés actuelles, la répression très forte à 2 semaines des elections (pas seulement sur les zapatistes). D'ailleurs javais lu un article dessus, vous l'met
http://www.indymedia.org/fr/2006/06/840906.shtml

Il nous a bien expliqué aussi une de leur lutte, contre le racisme envers les populations natives, les indigènes. En effet, dans leur constitution, il est indiqué que la population mexicaine est totalement issue du métissage (donc pas de reconnaissance des populations présentes avant alors qu'ils représentent environ 10% de la pop). Les écoles sont toutes en espagnole, il est interdit d'enseigner leurs langues ... l'Etat nie complétement leur coutumes, ils sont considérés comme des citoyens de "second rang", etc... et ce sont actuellement les populations les plus pauvres.

'fin si vous avez l'occasion, il faut aller voir ces courts métrages

Grand dieu Thoth a écrit:

starsky a écrit:

CLOCKERS de spike Lee

j'ai la flemme, je m'autoquote du forum dynam

A voir aussi CROOKLYN de spike Lee, je crois qu'il avait realisé les deux le même année. En fait c'est sur le Brooklyn de son enfance ou il n'y avait pas encore trop de drogue mais beaucoup de jazz. La bande son est exeptionnelle, c'est un de mes prefere de Spike Lee.

Bah tient j'ai vu La 25ème heure de Spike Lee, il est vraiment très bon et en plus il y a Edward Norton.

A oui la 25ème heures enfin rebatisé je ne sa plus pour quel raison 24 heures avant la nuit ; c'est super et puis Edward Norton est puissant comme d'habitude

HONNEY BABY de mika kaurismaki (le frêre de aki)

Première scéance du festival du film indépendant d'avignon. Première surprise, un problème de bobine, et hop: film en v.o non sous titrée. Etant pas très bon en anglais, j'ai eu vraiment du mal le premier quart d'heure. Puis mes restes d'écoles remontant, j'ai finalement suivi le film sans problème même si je ne comprenais pas TOUT ce qui était dit, rien ne m'a échapé dans l'intrigue. Et ça a renforcé le dépaysement qu'apporte le film. Un délicieux road movie, à la fois lent, profond, drole et rythmé...Un peu comme si wim wenders s'était associé à kusturika...
Un film ascerbe et tendre.
Il m'a fait un putain de bien dans une periode de déprime.
Virtuosement réalisé, les plans parlent, les cadrages ne sont pas anodins, et les grands espaces russes hivernaux arrivent à donner froid en plein été.
Une petite merveille.

Lord Karkass a écrit:

A oui la 25ème heures enfin rebatisé je ne sa plus pour quel raison 24 heures avant la nuit ; c'est super et puis Edward Norton est puissant comme d'habitude

C'est clair, Edward Norton est mon acteur préféré (normal avec Fight Club et amhx).

Ha il a été rebatisé, j'avais pas tout compris.

J'adore le moment culte du "Fuck you".

seigneuryo a écrit:

J'adore le moment culte du "Fuck you".

A bas oui forcement et la fin est à en chialer
Par contre quand tu dis qu'Ahx est ton film préféré j'suis pas du tout d'accord pour dire que c'est un super film (bon OK Edward Norton et Edward Furlong sont géniaux dedans) mais sinon moi j'le trouve vraiment moyens voir nul.....après chaqun ses goût

Lord Karkass a écrit:

seigneuryo a écrit:

J'adore le moment culte du "Fuck you".

A bas oui forcement et la fin est à en chialer
Par contre quand tu dis qu'Ahx est ton film préféré j'suis pas du tout d'accord pour dire que c'est un super film (bon OK Edward Norton et Edward Furlong sont géniaux dedans) mais sinon moi j'le trouve vraiment moyens voir nul.....après chaqun ses goût

Je sais pas, moi il m'a marquer, ce film porte sur la haine, et a l'époque ou je l'ai regarder j'étais limite raciste...

Ouais ben tant mieux pour toi mais le film est tellement mal fait que ça en a convaincu plus d'un

Si ça en sauve un pourquoi pas...le probleme c'est que ça en a converti plus d'un aussi

Moi j'ai vu Le Convoi de Sam Pekimpah. C'est genial, à condition d'avoir vu ses plus conus :)

J'y reviens plus tard, mais j'ai vu "romance and cigarettes" de john turturo, excelent film , "poséidon" remake de merde, gros navet, et LA COLINE A DES YEUX, remake plus que réussi, génial, gore, bandant...

ROMANCE & CIGARETTES de John Turturo

On connait Turturo en tant qu'acteur, très présent dans le cinoche indépendant ricain (les frêres cohen, buscemi, spike lee, etc...), et assez intransigeant dans le choix de ses films. Il nous livre ici son troisième opus en tant que réalisateur, film porté par un casting de fou (et de potes): James Gandolfini (à contre emploi), Susan Sarandon , Kate Winslet (méconnaissable, Christopher Walken, Steeve Buscemi (ces deux der(niers faisant partie de mon top 10 d'acteurs que je préfère au monde), etc...
On sent l'influence des Cohen, (de l'écriture à la réal), mais Turturo dévellope vite une personnalité propre, jonglant avec tragique et humour hilarant, cruauté et tendresse. Le spitch est entrecoupé de (trop?) nombreuses scènes dans lesquelles les acteurs chantent avec la bande son (entre la comédie musicale et la grosse blague), dont certaines m'ont fait me pisser dessus de rire. Les acteurs sont tous bons, et si ce film n'est pas un chef d'oeuvre, c'est une réussite indéniable. Quand on rit avec tout son coffre et qu'on sort avec la gorge serrée et les yeux humides, le réalisateur peut se dire qu'il a réussi son film...
15/20


LA COLINE A DES YEUX de Alexandre Aja

Déjà, contrairement à mister Melvin, je kiffe grave l'original, qui est (sans conteste) le meilleur craven avec "dernière maison sur la gauche", et un survival étouffant, sadique (oh oui) , mais vieillissant (le short du gendre, doug, est à pisser de rire ). Là où beaucoup de remakes se sont royalement plantés, on pouvait se consoler sur un "massacre à la tronconneuse" très efficaces, très glauque, mais assez peu fidèle à l'original (et moins efficace, aussi! Aaaah, la surexposition...).
Le film de Aja sort donc en france précédé par sa réputation, et c'est fébrile (si si) que je vais le voir. Diish. Cette vulgaire onomathopée est le bruit d'une claque. Le film, très fidèle, donc, a su garder les bons points du premier en ajoutant de l'intérêt et de la cruauté au scénar (c'est dire) et à l'image (gore gore gore). Le plaisir qu'éprouve le spectateur lorsque doug venge les siens est largement mieux exploité (on est là plus proche de "dernière maison..."), et l'idée de transformer le repère des assaillants en ville fantome donne un parfum de western assez délectable. Aja ne s'y trompe pas: on ne peut faire mieux que le chainsaw massacre ne therme de survival, et l'hommage au chef d'oeuvre de hooper n'est pas pour déplaire. Aja s'amuse aussi avec un savoir faire Francais à titiller les américains avec leurs valeurs et leur hypocrisie (savoir faire francais: je dis pas ça par chauvinisme, mais pour la distance qu'on sait prendre avec un patriotisme américain souvent de rigueur à hollywood):
"doug n'aime pas les armes, doug est démocrate" dit big bob avant de partir à la station service. hu hu hu me fait dire la suite du film. Le traitement réservé au drapeau U.S a fait peur aux producteurs, mais aja a su se montrer ferme. Bref, tendu, sanglant et déjà culte, le film confirme que le suvival n'est pas mort (après la bonne surprise THE DESCENT).

Par contre, on peut déplorer quelques points. Si l'idée de transformer la famille de papa jupiter en une (petite) communauté d'anciens mineurs victimes des essais nucléaires ricains n'est pas mauvaise, les personnalités de ces derniers sont trop peu exploitées. Je me suis toujours régalé à suivre les plans de papa jupiter, pluton et compagnie, et aja a volontairement décider de ne pas exploiter cet aspect du film.
La fin du "combat final" que je ne peut raconter sans spoiler, est un brindouille grosse à cause d'un (hem) rebondissement imposé par la prod.

Bon, dans l'ensemble, j'ai kiffé ma race la saguouine .

18/20


POSEIDON du nulissime Wolfgang Petersen...
...qui est un réalisateur de merde. Le remake d'un film sympa à l'affiche aléchante, je me suis dit "pourquoi pas ?". "Bien, me serais je répondu si javais su, parceque ce film est une bouse!".
Déjà, par principe, un film dont le héro valeureux est l'ancien maire de new york, ça devrait pas exister. S'il est moins atroce "politiquement" parlant que le moisissime "independance day", on est là face au petit frêre. Effets numériques à gogo gachant toutes les scènes "catastrophes", invraissemblances à hurler de rire (la moitié de la salle devait vouloir ma peau), dialogues incensés...
De plus, un BON film catastrophe ne démare pas au bout de 5 minutes de ! On attache aux personnages, on fait monter la pression...
Ici, on attend qu'une chose: que ca finisse vite! Qu'ils crèvent tous, s'il le faut, de toutes façons, même kurt russel m'a blasé, et le rôle de Dreyfus ne rime à rien.
A bruler.

02/20 (pour la scène du canal d'aération assez claustro. Mais sans prestige puisque pompée sur "the descent" et close ridiculement.

LA CITE DE DIEU
trop d'la boulette, voila c'est tout...

EXACT.

J'ai oublié de préciser que la bande son OLD SCHOOL donnait une méchante ambiance dans "la coline a des yeux"...