LE FILM QUE JE VIENS DE VOIR

gggnhhh!

bonjour je me présente je me présente la rainette verte

Du biff. du-du-du biff
c'est nous qui la vendons. c'est toi qui la sniffes
et tu kiffes. ouais tu kiffes
tu-tu-tu kiffes
même si le son te met des-des-des gifles

Jme la fais en point par point :)

melvin a écrit:

ma chronique de [•REC]
Misère misère et super misère... La morsure de la cruelle déception a planté en moi ses canines plus profondément que l'aurait fait n’importe quel infecté à la con qui court partout en vociférant d'inintelligibles dialogues qui semblent avoir été écrit par Danny Boon pour son film !

Dialogues ? Mais les dialogues sont là pour faire réaliste, pas pour faire audiard, mission qu'il remplissent parfaitement.

Citation :

Voilà donc un film vendu sur son impact flippatoire, mais qui au final fait aussi peur que Bienvenue chez les Ch’tis fait rire… Eh oui, vous êtes prévenus, faites foin de l’enthousiasme débordant pour ce film, il est aussi inexplicable que l’épidémie d’incohérences narré sur ces 75 longues minutes…

Je n'ai pas vu Bienvenu chez les chti, mais je suis certain que REC fait plus peur, bref -------> mauvaise foi évidente !

Et je ne suis pas sûr de comprendre la remarque sur "l'inexplicabilité" d'un film pourtant très très simple.

Citation :

Soyons sport, parlons d’abord de ses qualités, elles seront aussi rapidement évacuées que l’espoir que je portais dans ce métrage… Reconnaissons juste qu’il est techniquement réussi, l’effet « reportage » est crédible : l’image est immonde et les plans séquences font presque aussi mal au crâne que la pénible voix de l’horripilante mais forcément jolie quoiqu’un peu nouille présentatrice.

C'est sur, un mec qui se fait courser par des infectés qui veulent le bouffer pourrait faire l'effort de faire des traveling propres ! Un peu de respect pour le cinéma de papa, merde !
L'image ? Elle est parfaite, ni plus ni moins. Le grain de merde de la vidéo (en plus d'être logique vu la situation) donne à toutes les scènes en lumière faible des aspects silent hilliens saisissants.

Citation :

On m’avait bien dit que le film était décevant et qu’il n’enchaînait ses innombrables clichés qu’avec des situations archi convenues. Désolé mais ce n’est pas tout à fait vrai. Des clichés ? Il n'y en a pas tant que ça, trois ou quatre tout au plus. Par contre c’est tout, à part ça on ne trouvera rien de plus dans le film !

Le synopsis du film est lui même un cliché. A partir du moment où tu fais un film sur ce sujet tu vas passer par quelques clichés, ça n'empêche pas la réussite (cf 28 jour plus tard).
D'ailleur Kill Bill est une somme de clichés, et c'est aussi un grand film.

Citation :

Et c’est ému que j’en place une ici pour le coup de la résolution de l’énigme foireuse par magnétophone interposé.

Oui, j'avoue que l'écoute du magnéto, en plus d'être cliché, n'est pas très subtile. Un des défauts du film sans aucun doute. En revanche j'aime le fait que ce soit en quelque sorte l'explication d'une histoire de possession, avec implication de l'église. C'est juste la façon dont c'est amené qui est trop "grosse ficelle".

Citation :

A ce moment là si Ash (d'Evil Dead) avait déboulé dans le grenier en découpant le casting à la tronçonneuse, j’aurai crié au génie,

Je comprends mieux.
Personnellement je me serai demandé ce que cette scène foutait là.

Citation :

je l'aurai chanté, hurlé, je me serai levé et j’aurai embrassé tous les gens dans la salle et puis, entre deux cantiques, je me serai masturbé à genoux pour éjaculer l'aboutissement de toute une vie sur l'affiche du film, un râle dans la gorge, en promettant à qui voudrait l’entendre que désormais je ne parlerai plus qu'espagnol, je ne vivrai plus qu'à Barcelone, je ne mangerai plus que des tortillas et je ne boirai plus que de l'huile !
Bref… on est passé pas loin du chef d’œuvre… Tant pis…
Mais alors ? Suis-je trop vieux ? trop cynique ?… Ou trop fatigué ?

On est pas passé loin du chef d'oeuvre ? Pour un film de genre qui fait aussi peur que bienvenu chez les chti c'est paradoxal.

Citation :

Mais si techniquement le film est plutôt immersif (enfin, un peu comme si on s’endormait dans sa baignoire) comment diable ce scénario linéaire, convenu, répétitif et aussi peu inventif arriverait-il à créer une quelconque tension ?! C’est d’une connerie pas possible, par exemple : les gens ne deviennent subitement « enragés » que lorsqu’on s’intéresse à eux et même si on nous dit que le temps d'incubation est variable suivant les groupes sanguins... mon oeil oui ! C'est plutôt suivant les besoins du scénariste !

Scénario linéaire ? Convenu ? Evil Dead a-t-il un scénario cérébral et incroyable ? Non, et on s'en branle à juste titre, ce n'est pas la base du film.

Citation :

Ceux et celles qui ont vu le film se souviennent de la sidérante scène de la gamine attaquant sa mère... Sidérante d'opportunisme et de roublardise !

La question est: cette scène t'as t'elle surprise ou non. Si elle ne t'as pas surprise, je ne vois pas où se trouve l'opportunisme (la roublardise pouvant être une qualité). Si elle t'as surprise alors c'est un opportunisme à bon escient.

Citation :

En fait il ne se passe rien d’intéressant que l’on n’ait déjà subi mille fois ces dernières années… Un bon point ceci dit, on évite l'écueil pourtant très attendu du chat qui saute dans le champ. Le budget croquettes aurait-il était sucré par une production trop pingre ?

Le truc pour faire sursauter gratos ? C'est vrai ils ont bien fait d'éviter.

Citation :

Balaguero garde pour son final la seule bonne idée du film : la séquence en vision nocturne. C’est juste un peu dommage que ce ne soit plus qu’une astuce désormais obligée, The Descent et Cloverfield utilisant la même recette pour leurs scènes chocs respectives.

Dans the descent ce n'est pas DU TOUT la même scène. Ici le cameraman se retrouve obligé de filmer pour bénéficier de la vision nocturne de sa caméra, tout en assitant à l'imsuissance de sa collègue avec le spectateur.
(Je n'ai pas vu Cloverfield.)

Citation :

Ce final nous fait également le coup du journaliste passant de vie à trépas devant sa caméra, de voyeur complice du spectateur, il devient exhibitionniste de sa propre mort, nous laissant désormais seuls.

Une fin pas très originale, et alors? Soit elle survit, soit elle meurt. Je préfère qu'elle meurt, et on ne la voit pas mourir, on la voit disparaitre.

Citation :

Dommage que le procédé fut exploité, et avec déjà du recul, dans Cannibal Holocaust, et poussé au bout de la pellicule dans C’est arrivé prêt de chez vous ou même serve de final dramatico-larmoyant-prout-prout dans Cloverfield ! Je ne me souviens plus du Projet Blair Witch (qui aurait dû mieux porter son nom et y rester… à l’état de projet) mais j’imagine qu’on retrouve la même grammaire.

Si on ne devait plus utiliser un procéder car il a déjà été utilisé, le cinéma et la musique seraient bien tristes.

Citation :

On attend fébrile le prochain navet du regretté Romero pour savoir si la vision nocturne deviendra LA grande astuce visuelle du cinéma d’épouvante de notre époque…
Cannibal Holocaust et C’est arrivé prêt de chez vous furent tourné en film… c’était autre chose quand même et je ne peux qu’éprouver le même mépris devant leurs rejetons que celui qu’éprouve Ben devant l’équipe de tournage concurrente qui tourne en vidéo…
Blam ! Blam ! Blam ! Ah ah ah ! Ca donne envie d’essayer !

Plus haut dans ta critique tu demandes si tu es trop vieux.
Je n'en sais rien mais reprocher l'utilisation de la vidéo dans ce film montre en tout cas que tu as des références différentes de celle des réalisateurs de ce film, et un certain conservatisme :)

L'orphelinat. Y'a quelques scènes réussies du point de vue de la flip' mais grosso merdo c'est quand même de la merde.

Eh eh eh... Tu me permets d'en faire autant ?

melvin a écrit:

ma chronique de [•REC]
Misère misère et super misère... La morsure de la cruelle déception a planté en moi ses canines plus profondément que l'aurait fait n’importe quel infecté à la con qui court partout en vociférant d'inintelligibles dialogues qui semblent avoir été écrit par Danny Boon pour son film !

Dialogues ? Mais les dialogues sont là pour faire réaliste, pas pour faire audiard, mission qu'il remplissent parfaitement.

bon, ça commence mal, c'était pour faire une blague, pour comparer les borborygmes des enragés : "mehouahaahouhmm" à la façonj de parler de danny boon quand kad merad le renverse... eh eh eh

Citation :

Voilà donc un film vendu sur son impact flippatoire, mais qui au final fait aussi peur que Bienvenue chez les Ch’tis fait rire… Eh oui, vous êtes prévenus, faites foin de l’enthousiasme débordant pour ce film, il est aussi inexplicable que l’épidémie d’incohérences narré sur ces 75 longues minutes…

Je n'ai pas vu Bienvenu chez les chti, mais je suis certain que REC fait plus peur, bref -------> mauvaise foi évidente !

fait plus peur... que les chtis ?! Euh pas sûr...

Et je ne suis pas sûr de comprendre la remarque sur "l'inexplicabilité" d'un film pourtant très très simple.

oui, le film est très simple, mais ce que je trouve "inexplicable" c'est son succès, ainsi que ses incohérences. Le film est simple, mais, bourré d'incohérences.

Citation :

Soyons sport, parlons d’abord de ses qualités, elles seront aussi rapidement évacuées que l’espoir que je portais dans ce métrage… Reconnaissons juste qu’il est techniquement réussi, l’effet « reportage » est crédible : l’image est immonde et les plans séquences font presque aussi mal au crâne que la pénible voix de l’horripilante mais forcément jolie quoiqu’un peu nouille présentatrice.

C'est sur, un mec qui se fait courser par des infectés qui veulent le bouffer pourrait faire l'effort de faire des traveling propres ! Un peu de respect pour le cinéma de papa, merde ! L'image ? Elle est parfaite, ni plus ni moins. Le grain de merde de la vidéo (en plus d'être logique vu la situation) donne à toutes les scènes en lumière faible des aspects silent hilliens saisissants.

je ne dis pas le contraire.

Citation :

On m’avait bien dit que le film était décevant et qu’il n’enchaînait ses innombrables clichés qu’avec des situations archi convenues. Désolé mais ce n’est pas tout à fait vrai. Des clichés ? Il n'y en a pas tant que ça, trois ou quatre tout au plus. Par contre c’est tout, à part ça on ne trouvera rien de plus dans le film !

Le synopsis du film est lui même un cliché. A partir du moment où tu fais un film sur ce sujet tu vas passer par quelques clichés, ça n'empêche pas la réussite (cf 28 jour plus tard).
D'ailleur Kill Bill est une somme de clichés, et c'est aussi un grand film.

Kill Bill a un peu plus de trucs à proposer que REC, 28 jours plus tard aussi, ils ne versent pas dans la facilité et la paresse scenaristique de REC.

Citation :

Et c’est ému que j’en place une ici pour le coup de la résolution de l’énigme foireuse par magnétophone interposé.

Oui, j'avoue que l'écoute du magnéto, en plus d'être cliché, n'est pas très subtile. Un des défauts du film sans aucun doute. En revanche j'aime le fait que ce soit en quelque sorte l'explication d'une histoire de possession, avec implication de l'église. C'est juste la façon dont c'est amené qui est trop "grosse ficelle".

Je ne te le fais pas dire !

Citation :

A ce moment là si Ash (d'Evil Dead) avait déboulé dans le grenier en découpant le casting à la tronçonneuse, j’aurai crié au génie,

Je comprends mieux. Personnellement je me serai demandé ce que cette scène foutait là.

c'était une blague...

Citation :

je l'aurai chanté, hurlé, je me serai levé et j’aurai embrassé tous les gens dans la salle et puis, entre deux cantiques, je me serai masturbé à genoux pour éjaculer l'aboutissement de toute une vie sur l'affiche du film, un râle dans la gorge, en promettant à qui voudrait l’entendre que désormais je ne parlerai plus qu'espagnol, je ne vivrai plus qu'à Barcelone, je ne mangerai plus que des tortillas et je ne boirai plus que de l'huile !Bref… on est passé pas loin du chef d’œuvre… Tant pis…Mais alors ? Suis-je trop vieux ? trop cynique ?… Ou trop fatigué ?

On est pas passé loin du chef d'oeuvre ? Pour un film de genre qui fait aussi peur que bienvenu chez les chti c'est paradoxal.

aussi peur que les chtis "faisaient rire", il faut aller à la fin de la phrase !

Citation :

Mais si techniquement le film est plutôt immersif (enfin, un peu comme si on s’endormait dans sa baignoire) comment diable ce scénario linéaire, convenu, répétitif et aussi peu inventif arriverait-il à créer une quelconque tension ?! C’est d’une connerie pas possible, par exemple : les gens ne deviennent subitement « enragés » que lorsqu’on s’intéresse à eux et même si on nous dit que le temps d'incubation est variable suivant les groupes sanguins... mon oeil oui ! C'est plutôt suivant les besoins du scénariste !

Scénario linéaire ? Convenu ? Evil Dead a-t-il un scénario cérébral et incroyable ? Non, et on s'en branle à juste titre, ce n'est pas la base du film.

le scenario n'est pas la base du film ? hum hum...
Pour Evil Dead, le film avait beaucoup plus de choses à proposer que REC, et de plus, remets toi dans le contexte de l'époque... Tu ne peux pas voir Evil Dead comme un film de 2008 !

Citation :

Ceux et celles qui ont vu le film se souviennent de la sidérante scène de la gamine attaquant sa mère... Sidérante d'opportunisme et de roublardise !

La question est: cette scène t'as t'elle surprise ou non. Si elle ne t'as pas surprise, je ne vois pas où se trouve l'opportunisme (la roublardise pouvant être une qualité). Si elle t'as surprise alors c'est un opportunisme à bon escient.

elle m'a surprise par son aspect téléphoné... C'est juste nul de la façon où c'est amené.

Citation :

En fait il ne se passe rien d’intéressant que l’on n’ait déjà subi mille fois ces dernières années… Un bon point ceci dit, on évite l'écueil pourtant très attendu du chat qui saute dans le champ. Le budget croquettes aurait-il était sucré par une production trop pingre ?

Le truc pour faire sursauter gratos ? C'est vrai ils ont bien fait d'éviter.

ils n'évitent pas les autres eceuils ceci dit...

Citation :

Balaguero garde pour son final la seule bonne idée du film : la séquence en vision nocturne. C’est juste un peu dommage que ce ne soit plus qu’une astuce désormais obligée, The Descent et Cloverfield utilisant la même recette pour leurs scènes chocs respectives.

Dans the descent ce n'est pas DU TOUT la même scène. Ici le cameraman se retrouve obligé de filmer pour bénéficier de la vision nocturne de sa caméra, tout en assitant à l'imsuissance de sa collègue avec le spectateur.(Je n'ai pas vu Cloverfield.)

Ah bon ? Etre dans le noir total et n'avoir que la cam pour pouvoir observer, c'est pas DU TOUT pareil ???

Citation :

Ce final nous fait également le coup du journaliste passant de vie à trépas devant sa caméra, de voyeur complice du spectateur, il devient exhibitionniste de sa propre mort, nous laissant désormais seuls.

Une fin pas très originale, et alors? Soit elle survit, soit elle meurt. Je préfère qu'elle meurt, et on ne la voit pas mourir, on la voit disparaitre.

ben rien, c'est pas original, à l'image du film... Là pareil, ils se sont pas trop foulé pour la fin. Si tu t'en contentes c'est bien, je m'en contente pas, c'est mal.

Citation :

Dommage que le procédé fut exploité, et avec déjà du recul, dans Cannibal Holocaust, et poussé au bout de la pellicule dans C’est arrivé prêt de chez vous ou même serve de final dramatico-larmoyant-prout-prout dans Cloverfield ! Je ne me souviens plus du Projet Blair Witch (qui aurait dû mieux porter son nom et y rester… à l’état de projet) mais j’imagine qu’on retrouve la même grammaire.

Si on ne devait plus utiliser un procéder car il a déjà été utilisé, le cinéma et la musique seraient bien tristes.

c'est dommage parce que ça semble être l'astuce de la fin, mais comme je l'ai dis, cette astuce est déjà bien éventée. Je ne suis pas contre cette nouvelle grammaire cinématographique, pour autant, c'est bien d'avoir quelque chose à dire...

Citation :

On attend fébrile le prochain navet du regretté Romero pour savoir si la vision nocturne deviendra LA grande astuce visuelle du cinéma d’épouvante de notre époque…
Cannibal Holocaust et C’est arrivé prêt de chez vous furent tourné en film… c’était autre chose quand même et je ne peux qu’éprouver le même mépris devant leurs rejetons que celui qu’éprouve Ben devant l’équipe de tournage concurrente qui tourne en vidéo…
Blam ! Blam ! Blam ! Ah ah ah ! Ca donne envie d’essayer !

Plus haut dans ta critique tu demandes si tu es trop vieux.
Je n'en sais rien mais reprocher l'utilisation de la vidéo dans ce film montre en tout cas que tu as des références différentes de celle des réalisateurs de ce film, et un certain conservatisme :)

Définitivement tu n'as rien compris à ce que j'ai dit. Je ne reproche pas la video, je faisais une analogie avec cette scène de C'est Arrivé prêt de chez vous pour faire une dernière blague...

je suis bien triste, si toutes mes vannes sont comprises de la même manière, je dois vraiment avoir l'air cheulou

polux a écrit:

L'orphelinat. Y'a quelques scènes réussies du point de vue de la flip' mais grosso merdo c'est quand même de la merde.

Du point de vue du flip', les meilleures scènes sont dans Tommy... Mais c'est un chouia hippie comme film, alors je ne te le conseille pas

Tommy, je connais pas. Si c'est hippie, c'est parfait. Ils me foutent les boules ces gens-là avec toute leurs drogues et leurs sexes libres.

Sinon t'en as des titres de films de fantômes qui sont bien?

Ghostbusters voyons !

sinon y'a le truc avec Jugnot et Noiret... c'est particulier, mais avec de la drogue je sais pas, ça peut peut être passer.

Tommy c'est le truc des Who dans lequel y'a le roi du flip' joué par Elton John

Citation :

[quote="melvin"]
Cannibal Holocaust et C’est arrivé prêt de chez vous furent tourné en film… c’était autre chose quand même et je ne peux qu’éprouver le même mépris devant leurs rejetons que celui qu’éprouve Ben devant l’équipe de tournage concurrente qui tourne en vidéo…
Blam ! Blam ! Blam ! Ah ah ah ! Ca donne envie d’essayer !

melvin a écrit:

Définitivement tu n'as rien compris à ce que j'ai dit. Je ne reproche pas la video, je faisais une analogie avec cette scène de C'est Arrivé prêt de chez vous pour faire une dernière blague...

je suis bien triste, si toutes mes vannes sont comprises de la même manière, je dois vraiment avoir l'air cheulou

Bah j'essaie de faire des efforts, mais là je pense que je pouvais à juste titre comprendre que tu critiquais l'utilisation de la vidéo :)

Je suis allé voir....


IRON MAN



Ouais mec !

C'était sympa, moins pourri qu'un film de super héros habituel, grâce à l'évitement de certains clichés, du type bisou final, ou héro modeste et humble (bon après y a beaucoup d'autres clichés).

Non là le héros est plutôt mégalo et bon vivant ce qui fait plèz.

Que dire... J'aurais aimé que Iron Man soit un peu plus exploité (genre Iron Man s'écrase dans un immeuble ça aurait eu de la gueule). Bon il faut reconnaître que la phase avec Iron Man et les f-22 est sympa.

Bref sympa (oui c'est vague mais vraiment je ne vois pas de raison de le casser ou de l'encenser).

Cours Lola Cours
Il est chouette, j'ai pas trop compris le rapport entre le début et le reste mais une fois qu'on est lance dans le film c'est bon, la grande classe.

REC, C'EST DE LA MERDE
On sait ce qui va se passer toujours au moins 30 secondes avant (le moustachu devant la porte, huhu, ou le ridicule "tu as vu ses yeux" pour intoduire l'attaque);
Le rythme est minable: la tentative d'un eveil empathique chez le spectateur par d'interminables interviews et une ambiance "lourde" est risible;
On passe inexplicablement du tourné/monté au monté studio pendant cette periode, d'ailleurs.
La chambre du magneto et des coupures de presse a entrainé chez ma pzersonne un fopu rire ingérable
Les dialogues sont minables; les messes basses entre le cameraman et la présentatrice sont ampoulés, et ça ne rend pas le film brillants; à vouloir tout expliquer et justifier, l'ensemble devient pathétiquement risible

Le gros de la tension vient du brouhaha sonore qui stresse et donne l'impression d'avoir peur.

Il y a de bonnes idées noyées sous un torrent de poncifs, le directeur photo joue mieux que les acteurs.

Ca aurait fait un fabuleux court metrage, mais là...

starsky a écrit:

REC, C'EST DE LA MERDE
On sait ce qui va se passer toujours au moins 30 secondes avant (le moustachu devant la porte, huhu, ou le ridicule "tu as vu ses yeux" pour intoduire l'attaque);
Le rythme est minable: la tentative d'un eveil empathique chez le spectateur par d'interminables interviews et une ambiance "lourde" est risible;
On passe inexplicablement du tourné/monté au monté studio pendant cette periode, d'ailleurs.
La chambre du magneto et des coupures de presse a entrainé chez ma pzersonne un fopu rire ingérable
Les dialogues sont minables; les messes basses entre le cameraman et la présentatrice sont ampoulés, et ça ne rend pas le film brillants; à vouloir tout expliquer et justifier, l'ensemble devient pathétiquement risible

Le gros de la tension vient du brouhaha sonore qui stresse et donne l'impression d'avoir peur.

Il y a de bonnes idées noyées sous un torrent de poncifs, le directeur photo joue mieux que les acteurs.

Ca aurait fait un fabuleux court metrage, mais là...

Ben écoutez peut-être qu'il ne vous a pas fait flippé, mais moi il m'a fait flippé, grave, et ceux qui l'ont vu au cinoche sont assez d'accord. C'est juste le film le plus flippant que j'ai vu depuis un bail :D

Parce que des films d'horreur on en voit des caisses, mais des qui font peur...

Il ne s'agit pas ici de gloser sur les astuces déjà utilisée dans d'autres films ou la crédibilité de l'histoire (des putains de zombie merde !) mais juste de constater l'effet du film dont le but, est, pour moi plus qu'atteint.

Le pire c'est que la prochaine fois que je le verrai je le trouverai moins bien, c'est sûr, c'est du one shot, mais quel one shot !

et ben moi c'est DIARHEE OF THE DEAD, le dernier Romero qui m'a vraiment fait peur... mais pas pour de bonnes raisons !

Ben, je l'ai vu au cinoche, mais j'en attendais tellement...

Y a des bonnes idées et des réussites (plan dans l'escalier, scène dans le noir en infra rouge), mais à chaque fois que j'avais la pression, un vieux cliché anéantissait tout. Au départ, j'essayais de passer outre, mais j'ai pas pu. Quand la petite zombifiée se rapproche du pompier qui veut lui faire une piqure d'antidote, qu'elle arrive à portée de main, et alors qu'il a la voix chevrotante de peur, qu'il est aux aguets, il SE TOURNE EN OFFRANT SON COU à la mioche en demandant naivement à son pote "tu as vu ses yeux", ça m'a mis en colère. Et ça n'a cessé jusqu'à la fin. Dans d'autres dispositions, je me serait peut être plus laissé aller, mais j'en revenais pas, j'étais déçu de bout en bout par ce film qui promettait tant. Là où j'avais aimé blair witch, par exemple...

vas comprendre...

Bah, moi j'l'ai kiffé ce film.
Ouais, j'ai même un peu mouillé mon froc sur la fin.
Le côtés conneries des perso ça peut s'expliquer par le fait que c'est des gens ordinaires, disons. Qui irait se douter qu'une petite fille toute mignonne peut se transformer en zombie d'un seul coup comme ça. Bon j'avoue, nous à leur place on lui aurait direct tranché la tête à coup de pelle, mais bon la majorité des gens s'attendent pas à voir sortir des zombies de la prochaine station de metro.
Moi j'en attendais rien du tout, j'lai pécho un peu au hasard et j'ai bien kiffé.

Le port de l'angoisse - Howard Hawks

Excelleeent.
Bogart qui tue tout, comme d'habitude.
Et puis ça tue tout, comme un peu tous les Hawks en fait.

nikros a écrit:

Bah, moi j'l'ai kiffé ce film.
Ouais, j'ai même un peu mouillé mon froc sur la fin.
Le côtés conneries des perso ça peut s'expliquer par le fait que c'est des gens ordinaires, disons. Qui irait se douter qu'une petite fille toute mignonne peut se transformer en zombie d'un seul coup comme ça. Bon j'avoue, nous à leur place on lui aurait direct tranché la tête à coup de pelle, mais bon la majorité des gens s'attendent pas à voir sortir des zombies de la prochaine station de metro.
Moi j'en attendais rien du tout, j'lai pécho un peu au hasard et j'ai bien kiffé.

Laisse dire ses elitistes du cinemabis imbu de leur personne...

(j'ai même pas vu l'film mais j'ai un sentiment de compassion pour toutes les fois ou j'ai défendu des films face a l'adversité... eh merde j'ai de la compassion..)

The Breed - Nicholas Mastandrea

Putaiiiin.
Ecrit en gros sur la jaquette: "WES CRAVEN"
Et en fait c'est juste le producteur de ce pseudofilm d'horreur sans gout et bien stereotypé.


Heuresement il y a aussi eu
Les griffes du passé - Jacques Tourneur
Avec Kirk Douglas et Robert Mitchum

Trop crevé j'me suis un peu endormi devant mais ça m'a fait chier parceque c'était vachment bien.

Borat. Ben j'ai pas trouvé ça génial. Quelques morceaux de bravour, comme le repas chez les puritains, mais beaucoup trop de déchets.

Miami Vice - Michael Mann

Pompeux comme du Michael mann, un peu niais desfois, la culture de l'esthetique un peu inutile, lourd dans l'ensemble, mais finalement y'a une certaine touche qui rattrape tout et qui fait que c'est plutôt cool. Mais en fait je préfère Collateral, même si je suis pas top fan de Mann.

Le faucon maltais

Pas aussi bien que Le port de l'angoisse mais excellent quand même. Il joue carrément plus sur le suspens que les autres Bogart que j'ai vu.

Y'a pas à dire, le cinéma americain des 50s, ça a d'la gueule.

j'avais bien aimé c'ui là pour la construction du scénario, assez complexe et pas chiante pour autant

Ray

1ère partie de la vie de Ray Charles.
Comment il en est arrivé à son statut de star, ses démons, ses faiblesses et son courage.
Ca fait toujours plaisir d'entendre les standards.