LE FILM QUE JE VIENS DE VOIR

Cloverfield. Merde j'voulais le voir depuis un moment, un Godzilla au camescope ça pouvait être cool.

Ben nan. J'ai vraiment pas kiffé. Déjà la VF est abominable, bon ça ok. Mais en plus c'est ultra américano-centré, c'est beaucoup trop hollywoodien à mon gout, avec les gentils militaires (bon qui se font décimer la gueule quand même), le gentil héros, la gentille histoire d'amour...
Bref même pas d'humour, de second degrés, une touche d'auto-dérision, chai pas un truc pour faire passer le gros monstre tout moche quoi.
Bref une belle déception.

Le trou noir, un film de Disney qui date de 1979. Heu bah c'est naze. Un 20.000 lieues sous les mers version science-fiction.
Mais bon les effets spéciaux sont moches, l'histoire est chiante, la fin pseudo-psychédélique de pénétration dans le trou noir est ratée, longue et chiante et le robot est une vraie tête à claque.
Ajoutons à cela que les personnages n'ont aucun charisme, hé bien on obtient un navet même pas rigolo.

Zabos a écrit:

Ah, j'ai enfin vu Six Strings Samouraï. Sympatoche ++, mais je me suis pas accroché aux rideaux non plus. Mais bon, ça gère quand même.

Pareil, j'ai bien aimé mais j'ai de loin pas mouiller mon slip.

Bar-Jakk a écrit:

Zabos a écrit:

Ah, j'ai enfin vu Six Strings Samouraï. Sympatoche ++, mais je me suis pas accroché aux rideaux non plus. Mais bon, ça gère quand même.

Pareil, j'ai bien aimé mais j'ai de loin pas mouiller mon slip.

La même.

Spoiler:

seigneuryo a écrit:

Spoiler:

Certes, il y avait bien moyen de s'incliner. Tout au début, ils me font penser à Children of Bodom, moi. 'fin bon, c'est moi, hein.

seigneuryo a écrit:

Bar-Jakk a écrit:

Zabos a écrit:

Ah, j'ai enfin vu Six Strings Samouraï. Sympatoche ++, mais je me suis pas accroché aux rideaux non plus. Mais bon, ça gère quand même.

Pareil, j'ai bien aimé mais j'ai de loin pas mouiller mon slip.

La même.

Spoiler:

Vous n'avez simplement pas compris la puissance du film...

Retournez voir les classiques validez par Mad Movies bande de moules!

EDIT : Toi Barjack reregarde T-Force!

Putain mais j'ai jamais lu Mad Movies, moi, au fait! Depuis le temps que je lis ce nom... :)

Zabos a écrit:

Putain mais j'ai jamais lu Mad Movies, moi, au fait! Depuis le temps que je lis ce nom... :)

Honnetement ce n'est pas un bon magazine. Les critiques de films ne sont pas vraiment bonnes, ou plutot la ligne de pensé du magazine c'est : Moi j'aime bien ce film, toi tu l'aime pas, chacun ses gouts. Ducoup c'est un peu brouillon.
Ya des bon dossiers sympa sur des vieux film, des realisateurs et des truc comme ça.
Le plus sympa a lire c'est cours articles sur les prochains film pourri qui vont sortir et qu'on ne verra jamais.
Sinon le magazine fait son beure sur des preview de film, qui ont toujours l'air "genial" "historique" "putain ca nique ca mère" mais qu'au final on entend pas parler quand ils sont sortie ou pire qu'une fois sortie, le magasine fait un article où le film est détruit.

Mais c'est cool quand même. Malgré que selon moi ça aurait bien besoin d'un peu plus de vrai bon film rare sortie de derrière les fagots... mais c'est peu être le cinema qui est a chié ses temps si...

Aouch:
[Master of horror] La maison des sévice, de Takashi Miike.
Pfiiou, hard.

La fiancée de Re-Animator
Haaaaaaaa d'la grosse balle ! Même peut être mieux que le 1er. Ouais sûrement mieux en fait.

Bon hé bien un petit tour d'horizon pour relancer un peu la bête.

Les 12 salopards. Bon heuu, pfiou chai pas, mouais, c'est marrant, les 2h30 passent bien, ya des bonnes phases marrantes, mais la fin m'a plutôt déçues.
Bon c'est du film de guerre quoi, le petit côtés "anti-autoritaire" dû à la situation des gars est marrante, mais reste très politiquement correcte, ça aurai pu être bien plus trash.
Sinon c'est sympa quoi, à voir à la télé un dimanche soir... ha ben voila.

Hot Rod, l'histoire d'un type qui veut devenir cascadeur en souvenir de son père. Alors ben du coup il fait n'importe quoi, il saute au dessus de la piscine municipale en mobylette, essaye de réunir des fonds pour sauver son beau père afin de lui casser la gueule et plein d'autre connerie.
C'est super lourd comme humour, mais honnetement j'ai eu les larmes aux yeux sur certaines repliques.
Du bon gros à voir bourré.

Week-end de Godard, hier soir. Vache, cette poilade ! Avec le final splendide en compagnie du Front de Libération de Seine-et-Oise, sorte de guréilla maoïste cannibale. Avec Mireille Darc, Jean Yanne, Jean-Pierre Léaud, Godard himself, etc.

Revu The Descent.

Autant la première fois que je l'avais vu, je l'avais trouvé efficace.

Autant là, nib'. Mais alors nib de chez nib.

Zabos a écrit:

Revu The Descent.

Autant la première fois que je l'avais vu, je l'avais trouvé efficace.

Autant là, nib'. Mais alors nib de chez nib.

Ben oui, c'est quand même un peu normal, comme quand tu vois l'antre de la folie pour la deuxième fois.

Ai vu REC. Excellllent. De la peur, du stress. Je crois que tous les gens de la salle s'enfonçaient dans leurs sièges pour tenter, en vain, de caser quelques cm supplémentaires entre eux et l'écran.

Comme L'antre de la folie ou the descent il est à parier que c'est un film qui ne marche qu'une fois, mais alors il marche en défonçant des murs de béton.

Important: A mater dans de bonnes conditions. Je l'aurait maté sur ma télé ou mon PC j'aurai pas flippé autant.

La haine - KAssovitz.

Plutôt cool, pas de clichés moisis ou d'ambiguités chelou. Le thème aurait pu etre traité abominablement mille fois plus mal, et là c'est bien reussi.

ma chronique de [•REC]
Misère misère et super misère... La morsure de la cruelle déception a planté en moi ses canines plus profondément que l'aurait fait n’importe quel infecté à la con qui court partout en vociférant d'inintelligibles dialogues qui semblent avoir été écrit par Danny Boon pour son film ! Voilà donc un film vendu sur son impact flippatoire, mais qui au final fait aussi peur que Bienvenue chez les Ch’tis fait rire… Eh oui, vous êtes prévenus, faites foin de l’enthousiasme débordant pour ce film, il est aussi inexplicable que l’épidémie d’incohérences narré sur ces 75 longues minutes…
Soyons sport, parlons d’abord de ses qualités, elles seront aussi rapidement évacuées que l’espoir que je portais dans ce métrage… Reconnaissons juste qu’il est techniquement réussi, l’effet « reportage » est crédible : l’image est immonde et les plans séquences font presque aussi mal au crâne que la pénible voix de l’horripilante mais forcément jolie quoiqu’un peu nouille présentatrice.
On m’avait bien dit que le film était décevant et qu’il n’enchaînait ses innombrables clichés qu’avec des situations archi convenues. Désolé mais ce n’est pas tout à fait vrai. Des clichés ? Il n'y en a pas tant que ça, trois ou quatre tout au plus. Par contre c’est tout, à part ça on ne trouvera rien de plus dans le film ! Et c’est ému que j’en place une ici pour le coup de la résolution de l’énigme foireuse par magnétophone interposé. A ce moment là si Ash (d'Evil Dead) avait déboulé dans le grenier en découpant le casting à la tronçonneuse, j’aurai crié au génie, je l'aurai chanté, hurlé, je me serai levé et j’aurai embrassé tous les gens dans la salle et puis, entre deux cantiques, je me serai masturbé à genoux pour éjaculer l'aboutissement de toute une vie sur l'affiche du film, un râle dans la gorge, en promettant à qui voudrait l’entendre que désormais je ne parlerai plus qu'espagnol, je ne vivrai plus qu'à Barcelone, je ne mangerai plus que des tortillas et je ne boirai plus que de l'huile !
Bref… on est passé pas loin du chef d’œuvre… Tant pis…
Mais alors ? Suis-je trop vieux ? trop cynique ?… Ou trop fatigué ? Mais si techniquement le film est plutôt immersif (enfin, un peu comme si on s’endormait dans sa baignoire) comment diable ce scénario linéaire, convenu, répétitif et aussi peu inventif arriverait-il à créer une quelconque tension ?! C’est d’une connerie pas possible, par exemple : les gens ne deviennent subitement « enragés » que lorsqu’on s’intéresse à eux et même si on nous dit que le temps d'incubation est variable suivant les groupes sanguins... mon oeil oui ! C'est plutôt suivant les besoins du scénariste ! Ceux et celles qui ont vu le film se souviennent de la sidérante scène de la gamine attaquant sa mère... Sidérante d'opportunisme et de roublardise !
En fait il ne se passe rien d’intéressant que l’on n’ait déjà subi mille fois ces dernières années… Un bon point ceci dit, on évite l'écueil pourtant très attendu du chat qui saute dans le champ. Le budget croquettes aurait-il était sucré par une production trop pingre ?
Balaguero garde pour son final la seule bonne idée du film : la séquence en vision nocturne. C’est juste un peu dommage que ce ne soit plus qu’une astuce désormais obligée, The Descent et Cloverfield utilisant la même recette pour leurs scènes chocs respectives. Ce final nous fait également le coup du journaliste passant de vie à trépas devant sa caméra, de voyeur complice du spectateur, il devient exhibitionniste de sa propre mort, nous laissant désormais seuls. Dommage que le procédé fut exploité, et avec déjà du recul, dans Cannibal Holocaust, et poussé au bout de la pellicule dans C’est arrivé prêt de chez vous ou même serve de final dramatico-larmoyant-prout-prout dans Cloverfield ! Je ne me souviens plus du Projet Blair Witch (qui aurait dû mieux porter son nom et y rester… à l’état de projet) mais j’imagine qu’on retrouve la même grammaire. On attend fébrile le prochain navet du regretté Romero pour savoir si la vision nocturne deviendra LA grande astuce visuelle du cinéma d’épouvante de notre époque…
Cannibal Holocaust et C’est arrivé prêt de chez vous furent tourné en film… c’était autre chose quand même et je ne peux qu’éprouver le même mépris devant leurs rejetons que celui qu’éprouve Ben devant l’équipe de tournage concurrente qui tourne en vidéo…
Blam ! Blam ! Blam ! Ah ah ah ! Ca donne envie d’essayer !

Très joli enrobage !!!
un peu dommage que cela soit pour draper de la merde :o)

on vient de regarder 28 jours plus tard avec boulbi, bah j'ai bcp aimé!

je te conseille la suite, 28 SEMAINES APRES, qui malgré quelques menus defauts est assez réussi !

bah ça tombe bien on a choppé les deux, donc on regardera surement le 2 bientot.
par contre j'ai rien capté à la fin alternative.

c'est à dire ?
Dans l'une il meurt, et pas dans l'autre, je crois que ça s'arrête là non ?
je me souviens pu trop...


Pour le second, je reconnais les réserves de tahiri, mais je l'apprécie vraiment beaucoup, mis à part une scène géniallissime massacrée...

Le 28 semaines il est trés décevant rien que par l'idée scenaristique qui fait tout le film et qui devrait pas exister tellement c'est nul a chier.
Zyva le seul truc stylé c'est les scènes au napalm et avec l'helico.
Parcontre le 28 jours tu peux pas test s'tout.

Citation :

A ce moment là si Ash (d'Evil Dead) avait déboulé dans le grenier en découpant le casting à la tronçonneuse, j’aurai crié au génie,[...]

Ca c'est sure !!! ça aurait été une fin qu'aurait déboité....
Sinon, il est pas si pire que ça, enfin, dans le genre de film caméra a l'épaule qu'on voit partout maintenant....puis cette présentatrice, argh, j'en pouvait plus a la fin, elle est horripilante a s'arracher les cheveux au bout de 80min ....

Pour le diary of dead de romero, c'est encore la meme chose quoi...

ok moi j'ai vu que la fin avec la poule, je me suis dit, ah c'est tout il est mort? pourquoi pas, ça colle.

j'ai pas vu celle en story board par contre.

(et pi c'est vrai que danny boyle j'aime bien ses films, ambiance bien glauque, la plage ça m'avait marquée, plus que trainspotting finalement)

J'arrive en vaisseau spatial
J' suis dans la rue ou en studio avec mon 38 spécial
Au quartier on s'ennuie on mate le boule des biatchs
On rigole j' finis au trou comme des boules de billards