LE FILM QUE JE VIENS DE VOIR

Alors, tu chopes "Emule" (c'est un logiciel d'échange sur serveurs distants avec un âne comme dans Shrek 2), tu l'installes sur ton ordi, tu te connectes et puis tu lances une recherche, en l'occurence ici : "Sans toit ni loi". Tu attends ensuite entre 12h et 3 jours environs, et voilà, ton film est prêt à être regardé. Bon appétit !

Bon ok c'est cool mais on ma dit que avec emules c'était chaud et que l'on pouvait choppé un max de virus?

HAHAHAHAHAHAHAHAAaaahahaha

.........ça c'est ce que les gardiens du grand complots veulent te faire croire mon enfant! En fait que néni.

Ok bas dans c'est cas la je vais testé

Vu ce soir dans un vrai ciné oulahlah je dépense des sous, bref, La Raison du plus faible. C’est bien noir et bien délayé. Le nez dans la merde, et on y reste. A priori, ça m’a bien plu. Des gens normaux, avec des motifs banals, et inversement, prennent le risque de perdre ou de faire perdre la vie pour de l’argent qui, croient-ils, pourra éclairer leur vie d’anciens des hauts-fourneaux. Parce que dans leur banlieue pourrie de Liège, ils tournent en rond maintenant que leur usine de fait désosser et revendre au prix de l’acier. Parce qu’aussi, « tu crois vraiment qu’il nous reste quelque chose à vivre ? Et je te parle pas du temps qui passe, juste quelque chose à vivre ? Quelque chose qui te fait te lever le matin en étant content ? ».

Acteurs vachement crédibles, réalisation au poil. Dès fois deux trois trucs un peu poussifs dans le scénario, mais boah, j’ai bien aimé. Pour ce qui est de moi. Du drame social bien bien noir, comme du Ken Loach belge, en quand même pas Ken Loach.

Sinon pour King Kong bla bla, je suis bien d'accord avec Britney et Tonton Starsky. Pour l'anecdote, je l'ai vu à Belgrade dans un ciné tout pourrave avec 25 000 ados qui rient en choeur, hurlent, pleurent, bouffent, causent d'autre chose, téléphonent et commentent le film en temps réel. Et tu sais quoi? Ja'i adoré. En y regradant à deux fois, ça pue grave la société de consommation au dernier degré, ok, mais sur le coup, et pour ce style de film, franchement, c'est bon! Ça change de l'ambiance parfois tendue du cul des cinés français, où chacun entre en sommeil cryogénique une fois assis. On me le ferait pendant un Chabrol (tiens, j'ai vu et adoré son vieux Landru, fameux), je serais pas jouasse, mais là c'est du spectacle et c'est bon de le voir avec un tas de connards bien vivants! Et Créatures Célestes est bien une bombe! Tu te souviens, Britney, en 97, en plein air, dans la cour de la Manufacture, au mois de Mars, ça pelait sa grand-mère, mais comme il nous avait bluffé?

Dans le genre Indiana Jones tribute, je suis très très fan du premier opus de La Momie. Ça bourrine grave, ça respecte bien les codes du genre, c'est hilarant. Youpi.

Zabos a écrit:

Et Créatures Célestes est bien une bombe! Tu te souviens, Britney, en 97, en plein air, dans la cour de la Manufacture, au mois de Mars, ça pelait sa grand-mère, mais comme il nous avait bluffé?

ha ha ha ! Ouais, ça pelait et on pensait que ça allait enchaîner sur brain dead et pouf ! Vla-t-y po que ça enchaîne sur the element of crime de L.V triers, auquel on a rien compris, pendant lequel on a parfois somnolé, mais on est resté jusqu'au bout, comme des warriors...
(par contre tu me troues le cul, j'aurais été bien incapable de me souvenir de l'année)

J'avais vu et aimé le premier Pirates des Caraïbes au même titre que j'ai aimé la La Momie.

Le second de la série est révoltant... au pire, il sera un peu moins bien, me disais-je, et au pire, y'a Johnny Depp, acteur que j'admire pour maintes raisons, dont les choix matrinomiaux sont exclus cependant.

Bref, le second opus est pire qu'un mauvais film, c'est un mauvais film raté. C'est de la grosse déception. C'est de l'horriblement réchauffé, comme s'il avait pris les scènes ayant du succès dans le premier, qu'il les avait remixées dans le désordre en multipliant le budget par cent et en insérant les personnages au hasard en tirant au dé.

L'ambiance du vaisseau fantôme est très chouette, les effets spéciaux sont efficaces, mais comme ça dure tout le temps, au bout d'un moment, on en les voit plus. La leçon involontaire des Dents de la mer n'a pas été retenue: moins on en voit, plus on en voit.

Il tire sur la corde en multipliant des scènes spectaculaires incohérentes et non abouties, composées de superflu, les personnages défilent très vite, se séparent, se rejoignent, et le scénario galère des dizaines de minutes à se mettre en place, tant c'est problématique de parer aux incohérences induites par tout ce bordel, les tentatives de surenchères comiques se dilluent dans le chaos fatiguant...

Et y'a pas de dialogues. Rien. Nib'. Pas le temps. Trop de budget à dépenser, pas le temps de faire causer les persos.

Non, croyez-moi, vous êtes bon public, grand gamin, vous avez aimé le premier? Bah rematez-le avec des gens sympas et une assiette de pâtes au parmesan avec une bonne bouteille, car je l'ai re-regardé dans la foulée en rentrant dans ces circonstances, et c'est un bon moment. Allez pas gâcher votre temps, vos brouzoufs et surtout votre bon souvenir du premier dans une salle de ciné. Même en VO, il est insupportable.

Pourquoi Johnny Depp joue-t-il dans un film comme ça alors qu'il en a fait une tonne de très bien.

J'ai regardé en bretagne (entre autre:)

3 Monte Hellman:

-L'ouragan de vengeance (à chier)
-Cockfighter (excellent)
-The Shooting (pas mal du tout)

et surtout j'ai regardé Trainspotting, que j'ai trouvé excellent :)

Trainspoting est un de mes films préféré.

Johnny a commencé le grand projet de Terry Guilliam, l'adaptation de DON QUICHOTE, avec aussi Jean Rochefort. Peu d'investisseurs, des problèmes sur le plateau, la prod n'a pas suisi et le projet a coulé. Alors, Depp et Guilliam, grands amis, tout deux très attachés à ce projet, on fait un pacte: on va faire du film de commande, bien rentable, et on fait don quichotte nous même avec nos sous.
Deep part faire "les pirates des caraibes" qu'il élève litteralement par son jeu, et guilliam "les frêres grimm". Le film de Deep est un énorme succès, et, contrat oblige, il tourne les suites (à l'instar des "retours vers le futur", le deux et le trois sont tournés dans la foulée).
Guilliam en profite pour réaliser TIDELAND ( que j'essairai de voir à Paris) film qui a divisé la critique.


Aucun rapport -enfin, si justement- , hier, j'ai rematté BRAZIL pour la première fois de puis mes 14 ans. Ca m'a permis de voir que le film a vieilli, et manque de cette dynamique qui annime le fantastique et bandant "l'armée des douze singes". J'ai pas été subjugué imédiatement, comme il y a dix ans, mais une fois dedans, on y reste, et la magie réopère.
Puis, j'ai vu le film avec dix ans de plus au compteur, ce qui m'a permis de mieux cerner les idées, et surtout les références. Celles à Metropolis et Citizen Kane, dans les plans; celles à 1984, édulcorées dans l'histoire, mais sautant aux yeux de l'amateur orwellien (entre autres le route habillée de publicités géantes, mur continu de réclames; les faux alliés;puis les trucs que je peux pas dire sans spoiler à donf ...).

Mais attention, si on est face à une société totalitaire technocrate, dont la moindre erreur de bureaucratie peut être fatale pour de nombreuses personnes, ce n'est pas une copie sur pellicule du livre de Orwell.

C'est une film sur la fuite. Sur le rêve. Une belle allégorie de notre société, dans laquelle on rêve de promotions et de réussite sociale, mais où le rêve, le vrai est proscrit et réservé aux naifs et aux "ratés".
Ici, donc, la fuite est le rêve, même si la réalité rattrape toujours notre hero, raté par choix, par refus du piston maternel, par manque d'intérêt à la demarche patriote.
Quand il va renconter la fille de ses rêves, victime parmis tant d'autres anonymes des erreurs d'un système qui assoit le moindre suspect sur une table de torture (lequel doit payer sa torture pour alimenter le système), et qui suspecte tout le monde et n'importe qui, Sam (notre poulain) va se compromttre, se mettre en danger. Car il veut rêver éveillé, il veut aimer, être heureux, être valeureux. Il veut vivre vraiment. Et il connait les rouages bureaucratiques, il connait ses failles, et il a des amis.
Du moins croit il.
Car sam est un rêveur: naif, maladroit, mal avec la réalité.

Là je spoile
La fin du film (il y en a au moins trois: celle de guilliam, très noire; celle des studios, happy end foireux; le compromis, celle ci, qui reste négative avec un regard de fuite) reste l'apogée péssimiste du truc, comme un dernier clin d'oeil à Orwell.

la je spoile plus

Voilà, donc le deuxième film solo de cet ancien monthy pithon (ort?), qui n'est pas encore maitre de la technique cinemathographique, mais qui en veut, et qui signe là un film unique. Un film qui prépare (encore inconsciement) l'univers péssimiste et visuel de "l'armée de douze singe".
Un film imparfait, mais d'une sincerité troublante, et d'un onirisme rare, beau et cauchemardesque.

Je n'arrive pas à comprendre pourquoi Yann et polux (les deux clones hi hi) s'acharnent de la sorte sur Guilliam, englobent son oeuvre dans un noeud de merde. j'attend déjà une réponse vacharde au sujet d'un connard sans talent.

Il a en tout cas le talent de me faire réver, moi, avec les deux films cités au dessus. Et de me fraire mourrir de rire avec les mêmes. Et avec d'autres.

J'ai bien aimé l'Armée des 12 singes parce que j'y ai vu (et je vois ce que j 'y ai envie de voir) une diatribe contre les écolos fanatiques qui préfèreraient pendre leur gosse plutôt que de voir crever leur chien.

Pirates des Caraïbes 2, et c'était presque nul.

edit: je répond à polux

ah ?
Et bien, c'est vraiment réduire le film à peu de chose.
J'y vois un cycle continu et immualble amenant à une fatalité irémédiable. J'y vois la quête d'un homme sans espoir, encore un peu enfant, et pourtant si dangereux, qui revit par l'amour et par le bonheur de revivre son passé; de voir ce qui n'est plus -mer, vie, - et de réspirer. J'y vois une reflexion sur le temps qui passe, sur le fait de vieillir, sur la mort...
J'y vois une réflexion sur la folie, celle qui parait, celle qui est, celle du "saint d'esprit" insoupsonable.
J'y vois une histoire d'anticipation bien construite, bien écrite bien montée, violente, sans concession, et dont la fin me foutra toujours autant de frissons dans l'échine, et éveille le cerveau à des reflexions sereines sur comment éviter l'inévitable.
Comment changer le cours des choses.

En ce qui concerne les "écolos" -ATTENTION JE SPOILE- ils sont faussement accusés tout le long du film à cause d'un écart de normalité de leur leader, et du fait qu'ils soient catalogués comme terroristes.
Ils sont donc completement innocents, et le danger vient bien du chercheur censé être philanthrope...

JE SPOILE PLUS

Enfin, tu confond peut être avec 28 JOURS PLUS TARD (ou "après", je sais jamais) dans lequel un virus est propagé à cause d'écolos voués à la cause annimale, qui libèrent des singes contaminnés de laboratoires...

Non je parlais de l'Armée des 12 singes, parce que c'est le seul aspect d'intéressant que j'y ai trouvé avec le fait que Bruce Willis y joue (dommage qu'il vote Bush ce connard). Comme quoi, je suis d'une tempérance extraordinaire, puisqu'avec si peu de choses je peux aimer apprécier un film de Terry Gillian.

Mais du coup ça me donne envie de voir l'aut'film, 28 jours plus tard.

Citation :

parce que c'est le seul aspect d'intéressant

lire en filigranes: starsky est un trou du cul de trouver tant d'interêts à ce film ?
sale snob bourgeois !



T'as tellement savaté l'enfant en toi à coups de lattes pour devenir un adulte mature que tu l'as tuer, et tu sais plus réver simplement.
na!

J'ai pas dit qu'il fallait pas voir ce que t'y as vu, je disais juste que je l'avais pas vu. Quant à l'adulte mature que je suis censé être devenu, là c'est drôle. Je suis aussi irresponsable qu'à mes 18 ans.
Et j'aime bien jouer au snob. Prout. toi-même !

Oh merde, t'étais déjà aussi borné et snob ? ;) :)
allez, j'arrête là.

Ah, sinon (et c'est vrai en plus), hier soir j'ai matté deux heures de sketchs des inconnus, et j'ai bien rit.
J'ai fait une journée anti R.A.T. , en fait...

Euh, je suis tout sauf cinephile. mais avec brazil et las vegas parano ça fait deux films cultes pour sa gueule (enfin je suppose que s'ils sont cultes pour moi, au point que je ne me lasse pas de les rereregarder, c'ets que ça doit etre le cas pour d'autres personnes). c'est donc qu'il doit bien avoir quelques qualités le bonhomme. par contre, desole starsky, mais l'armée des 12 singes, s'il ets tres bien, sucite déjà moins d'enthousiasme chez moi.

Sinon, ce week end, j'ai vu le caiman. Et je ne comprends pas. Comment un film aussi quelconque a pu suciter autant de débat? d'autant plus qu'on ne peut pas dire que la critique de beslusconi soit omniprésente dans le film, tout au plus un fil rouge.
Finalement, plus que le film lui-même, ce qui est révélateur, nous apprend quelque chose, c'est qu'il est suscité tous ces débats. Qu'un film somme toute gentillet et modérément engagé ait pu créer tant de polémiques

REQUIEM de hervé renoh
Ce dernierpart d'un principe louable: on va faire un film de genre, à la française! Un truc qui mélangera le polar violent et stylisé, le film gothique traitant de la foi et de la dualité, le tout dans une athmosphère fantastique. On prend des acteurs avec de vraies "gueules", et on envoie la sauce.
On peut pas nier qu'il y a des efforts de fait à la réal, ce qui nous fait penser que "requiem" aurait pu être un bon film. Si le scénario n'était pas aussi bancal (je vous parle même pas du twist final), si les personnages avaient été authentiques (seuls les moines font ilusion) et si le chef op (ou le directeur photo, on s'en branle) avait été capable d'un travail régulier. Car on passe d'une photo léchée proche de celle de "la neuvième porte -film imparfait, mais à la photo sublime- à une pélicule execrable digne d'un épisode de "highlander".
Puis cette manie de vouloir balancer des phrases choc-cultes toutes les trente secondes plombe les rares bonnes idées -en plus souvent utilisées à outrance (crucifix comme moyen de protexion sur goliath, chef des méchants, ou encore la mort de rafik).
Bref, on peut continuer longtemps tant les défauts s'accumulent, et transforment une bonne idée en film qu'on regarde parcequ'on a rien d'autre à faire.
Un divertissement léger et décevant.

WILLORD de Glen Morgan

Une comédie fantastique à l'ancienne, photo et mise en scène assez iréprochable dans le genre. Je crois que c'est tiré d'un bouquin. Willard travaille dans une entreprise pourrie pour une ordure qui a volé la boite au paternel du héro (par des manoeuvres habiles de biznessman) il y a quelques années, poussant ce dernier au suicide. Willard est timide, maladroit et humilié par son employeur. Il habite dans une vaste deumeure avec sa mère malade (assez flipante) qui le harcèle. Il est malheureux. Un jour, alors qu'il sauve un rat (la maison en est claffie) d'un piege qu'il avait lui même installé, il se prend en affection pour ce dernier. Il commence à les aimer, et se rend compte qu'il peut communiquer avec eux. Mieux, les comander. Et il compte bien prendre sa revanche avec ses nouveaux alliés.

Crispin glover a vraiment du mal à se débarasser du personnage de george mac fly (qui lui a assurément valu ce rôle), et s'il est irréprochable, on a du mal à voir quelqu'un d'autre. Le film est assez bon, entre le drole et le dégueulasse (gentillement, quand même), et dans la naration: rythe lent, ambiance pesante, maison à la fois spacieuse et ettoufante...
Mais ses qualités sont aussi ses défauts. Parfois, c'est vraiment lent, et le ton est trop hésitant entre comédie fantastique familiale et film fantastique drolement saignant, noir et -soyons fous- carrement gore (il y a quelques incursions , gentilles quand même.
Voilà, j'aurais aimé qu'il y ai moins de concessions, et plus de méchanceté.
Puis willord est parfois à gifler (le perso, hein, mais ça rend pas le film moins bon.

Une farce sympa, donc, parfois jouissive, parfois longuette, assez bien torchée dans l'ensemble.
A voir si l'occasion se présente.

Full metal jacket, farenheit 9/11, brazil, trainspotting sont les derniers films que j'ai regarder je crois.

jai vu LadyBird de Ken Loach. l'histoire du combat d'une femme pour garder ses enfants face aux services sociaux anglais à logique implacable. accusée de maltraitance, marquée par son passé, elle devra tout le temps prouver et crier sa capacité à garder ses enfants. histoire vraie. l'actrice est merveilleuse, je peux pas l'imaginer ds la vie normale tant elle habite son role (c'est ça ds tous les Ken Laoch, comment il fait ??). film bouleversant

Printemps, été, automne, hiver... et printemps. un beau film coréen, par ses images, son histoire. j'avais peur que ce soit un peu niais ( métaphore de la vie par les saisons..mouais). c'est plein de poésie, de sentiments et à la moitié, le film prend un tournant inattendu... des petites longueurs quand même, je pense qu'c'était à voir au cinéma pour le côté contemplatif.
de plus, jpense que je suis passée à coté de plusieurs symboliques orientales (le serpent, le coq..les couleurs...)

svuit a écrit:

LadyBird de Ken Loach. (...) film bouleversant

C'est bien vrai.

svuit a écrit:

Printemps, été, automne, hiver... et printemps. un beau film coréen, par ses images, son histoire. j'avais peur que ce soit un peu niais ( métaphore de la vie par les saisons..mouais). c'est plein de poésie, de sentiments et à la moitié, le film prend un tournant inattendu... des petites longueurs quand même, je pense qu'c'était à voir au cinéma pour le côté contemplatif.
de plus, jpense que je suis passée à coté de plusieurs symboliques orientales (le serpent, le coq..les couleurs...)

Et non, les films de Kim Ki Duk ne sont pas niais du tout. Tout au plus un peu mystiques. Samaria m'a fichu une belle claque, tellement c'est desespéré et violent comme film. J'aime ce cinéaste.

"2001, l'odyssée de l'espace".
Hem.
Autant le début bien.
Mais la suite là, besoin d'aide, rien capter...

ET LA TENDRESSE BORDEL
qui m'a fait encore plus marrer que quand j'étais mome