LE FILM QUE JE VIENS DE VOIR

starsky a écrit:

Quand on l'annonce après, c'est qu'on joue clairement au connard.

La neuvième porte de Polanski. C'était plaisant.

moi aussi, je le trouve pas mal.
Alors que tous hurlent au navet et au massacre, j'ai pas lu le livre, et la dernière image du film me dresse les poils.
Comme l'intro, magnifiquement glauque.

ouais .
le film m'a juste laisser un peu sur ma faim a la fin , mais c'est pas plus mal en fait.
la scene ou le mec se reveille dans l'apart de la vieille en fauteuil roulant apres s'etre fait assomé est fabuleuse aussi ...

Leviathan de George Cosmatos :

Au large de la Floride, par 3500 m de fond, une équipe de géologues placée sous la direction de l'éminent Steven Beck étudie l'exploitation des ressources océanographiques. Au cours d'une sortie, Sixpack, un des membres de la mission, découvre l'épave du Leviathan, un vaisseau soviétique censé croiser dans les eaux de la Mer Baltique. De retour à bord, Sixpack présente les symptômes d'une mutation génétique, qui entraîne rapidement sa mort. Son cadavre se transforme alors en une créature visqueuse et particulièrement dangereuse. Bientôt la contagion s'étend à d'autres membres de l'équipe...

Une bonne série b avec des dialogues funs, une jolie brune, des bons effets-spéciaux et quelques scènes bien sympatoches. Une bonne surprise quoi !

et avec le colonel trautman, ainsi que daniel stern, voleur aux côtés de joe pesci dans le chez d'oeuvre "alone home" (maman j'ai raté l'avion).
hi hi

dans un moment de solitude intense j'ai relancé les poupées russes, bah j'suis bien con, ça fout les boules.
fait chier merde! l'amour, tout ça ...

Ouais. Le genre de film de merde à la con qui te rend schizo: ton côté A éructe de haine devant ce mélo merdique. Ton côté B fond en larmes et s'écoule dans le caniveau et te vidant le coeur par la même occasion.

«Les gens qui pleurent à s'en fondre les yeux en regardant un film à la guimauve, neuf fois sur dix ils ont pas de coeur.» - L'Attrape Coeur

:)

Ouais, mais j'ai pas pleuré devant Pretty Woman.

Manquerait plus que ça.

J'ai un demi-coeur, quoi.

bon ben alors j'dois en avoir trois ou quatre, des coeurs.
En pierre, mais des coeurs quand même.

le vieux fusil de robert enrico

c'est comme un justicier dans la ville mais à la campagne et avec le gros noiret à la place de charles bronson

Arf, j'l'aime bien Noiret.

Enfin, je l'aimais bien.

Quoique gros.

Et j'aime assez bien Le Vieux Fusil, en particulier parce qu'il m'a traumatisé quand j'étais tout môme. C'est un de mes premiers souvenirs d'être choqué devant un film. Pas au sens moral, au sens "violence du contenu".

il en parlent dans c'est arrivé près de chez vous:
"ça t'rappelle rien, ça, rémy ? le vieux fusil ! avec le gros noiret !" quand il éclate la tête d'un type sur un lavabo.

c'est arrivé près de chez vous, rhalala, Benoît Poelvoorde est génie-ssime dans ce film, d'une puissance, d'une froideur glacialoglacticochpéquoi, du pure jus ce film

Rocky BALBOA :NOsms

Jeancouillé a écrit:

Rocky BALBOA :NOsms

Tu l'as vu ?
Respect.

Et il va bien ?
Remis du divorce?
Sacré Rocky, va...

Ouai, il est sacrément baleze sauf qu'il a perdu dans la forme.

Sa technique de combat est plus directe et beaucoup plus bourrin, mais bien moins esthétique que dans les opus précédents. :NOsms

Citation :

La vie est une bataille, et tu es un battant; les battants se battent...

...et moi je me fais péter la tronche.
Le bonheur des un, hein...

après les poupées russes hier, j'me suis mis devant l'auberge espagnole cette après-midi. malgré ce qu'il y a redire (et y en a), beaucoup de choses me parlent. c'est déstabilisant presque

Dans le style, mais en beaucoup plus drôle et savourable, je te conseille TRES fortement MA VIE EN L'AIR, avec vincent elbaz.

Y a un économiseur de mot qui va te faire pleurer de rire.

starsky a écrit:

Dans le style, mais en beaucoup plus drôle et savourable, je te conseille TRES fortement MA VIE EN L'AIR, avec vincent elbaz.

Y a un économiseur de mot qui va te faire pleurer de rire.

j'fais de suite chauffer la mule

Je conseille CAMPING à LA FERME qui est digne d'un grand navet.

jean le bienheureux ( Hans im Glück ) sur arte hier soir, vers 1 ou 2h de matin, un putain de film, :

Citation :

Hans im Glück
JEAN LE BIENHEUREUX - Trois tentatives d'arrêt de tabac

HANS IM GLÜCK est l'histoire d'un homme qui se met en marche pour arrêter de fumer.

C'est pourquoi il entreprend de se rendre à pied de son lieu de résidence actuel, Zurich, à sa ville natale, Saint-Gall, où son tabagisme a commencé. Il est prêt à recommencer ce voyage - en empruntant à chaque fois un chemin différent - aussi souvent qu'il le faudra pour atteindre son but: enfin non-fumeur! A travers cette marche rituelle à la campagne et l'interdiction formelle de fumer qu'il s'impose durant son cheminement, il espère se libérer de ses vieux vices encombrants. Cette quête vers les sources de sa dépendance prend de plus en plus la forme d'une quête dont l'objet réel est la recherche d'un chez-soi et la tentative de renouer avec ses propres origines. Toutes ces images, «découvertes» et souvenirs qu'il rencontre au cours de ses marches le plus souvent assez étranges, forment la base d'un périple cinématographique vers le paradis et l'enfer dans sa patrie - parsemées d'excursions par-delà les frontières.

HANS IM GLÜCK est un règlement de comptes et une déclaration d'amour. Un road movie pour piéton, un film local pour déracinés. Un hommage à tous les fumeurs et autres maniaques, à tous les pauvres diables qui ont su (malgré tout) garder la tete haute - et, bien sûr, à Jean le bienheureux.

Starsky, aux vues de tes pensées, ce tu exprime de temps en temps sur le forum, à propos de toi , tout ca, même si je ne te connais pas, je pense que ca t'intesserais particulièrement( au risque de me faire insulter au nom de je ne sais pas quoi , ca m'a fait penser à tes pensées), et puis bien sûr , pour tout le monde, c'est une c'te réflexion rongement du cerveau/du coeur, mais en même temps, ne s'écarte pas de la réalité, c'est "juste "un vécu intérieur. La bande sonnore du film est uniquement composée de l'ambiance exterieure et d'une voix qui lit ce que le mec écrivait pendant ses marches