Grèce 2008 ... et plus si affinités

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Grèce: un blessé lors d'une manifestation en mémoire d'un lycéen tué par la police
06/12/2010 16:35

Un homme a été légèrement blessé lundi après-midi lors d'une manifestation organisée par des groupes de la gauche extraparlementaire et des anarchistes à Athènes en mémoire d'un adolescent tué par un policier il y a deux ans, a constaté une journaliste de l'AFP.

L'homme a été blessé à la tête près de la place centrale d'Omonia, probablement par un projectile lancé par des manifestants contre les policiers.

Cet incident a été précédé par des tirs de gaz lacrymogènes par des forces anti-émeutes après qu'une centaine de jeunes cagoulés aient mis le feu dans des poubelles en s'en prenant également à coup de pierres et barres en bois aux vitrines de banques et magasins, la plupart recouvertes de volets de métal.

Cette manifestation intervient juste deux heures après un premier défilé dans le centre-ville de milliers d'élèves, d'étudiants et des syndicats de fonctionnaires, qui a également été marqué par de brefs affrontements entre jeunes et policiers.

"Notre avenir n'est pas le capitalisme", "L'Etat n'est rien, il faut prendre notre vie en mains", étaient inscrits sur les banderoles des manifestants.

Les policiers ont répondu en lançant des grenades assourdissantes et des gaz irritants.

Ces manifestations ont été organisées en mémoire du décès d'Alexis Grigoropoulos, 15 ans, tué par un policier le 6 décembre 2008. Cette bavure avait déclenché un mois de violences urbaines en Grèce, et entraîné la radicalisation d'une partie de la jeunesse grecque.

A l'issue de neuf mois d'audience, l'auteur de l'assassinat, le policier Epaminondas Korkonéas, 38 ans, a été condamné en octobre à la prison à vie, reconnu coupable d'avoir intentionnellement tiré sur sa victime.

http://actu.voila.fr

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Rome : un nouveau colis contenant des explosifs découvert

Les artificiers désamorcent actuellement le paquet, retrouvé à l'ambassade de Grèce moins d'une semaine après l'explosion de colis piégés dans les ambassades de Suisse et du Chili.

Un colis piégé du même type que ceux ayant explosé la semaine dernière dans deux ambassades à Rome a été découvert lundi 27 décembre à l'ambassade de Grèce dans la capitale italienne, ont indiqué les carabiniers, tandis que six colis suspects dans d'autres ambassades se sont avérés de fausses alarmes.

Le dispositif désamorcé par les artificiers des carabiniers est "semblable à ceux qui ont explosé la semaine dernière aux ambassades du Chili et de Suisse", a indiqué à l'AFP un porte-parole des carabiniers, Salvatore Cagnazzo. "Le préposé au courrier de l'ambassade l'a ouvert mais il n'a pas explosé".
Le paquet était constitué d'une enveloppe jaune du type de celles destinées à des objets fragiles et contenait un boîtier de CD avec un détonateur.
Jeudi, des colis piégés avaient explosé dans les ambassades de Suisse et du Chili, faisant deux blessés. Ces attentats ont été revendiqués par une fédération anarchiste, proche de groupes extrémistes grecs.

En état d'alerte

Depuis, les représentations diplomatiques de la capitale italienne ont été placées en en état d'alerte.
Le paquet "est arrivé vendredi mais personne ne l'avait ouvert à cause des fêtes de Noël", a indiqué l'ambassadeur de Grèce, Michael Cambanis, cité par La Repubblica sur son site internet.
Des paquets suspects ont également été signalés lundi dans les ambassades de la principauté de Monaco et du Venezuela, mais il s'agissait à chaque fois de "fausses alertes", selon le porte-parole des carabiniers.
Des médias italiens ont fait état également de la découverte de paquets suspects dans les ambassades du Maroc, du Danemark, de Suède et d'Ukraine, mais il s'agirait également de fausses alertes.
Les deux attentats de jeudi ont été revendiqués par la Fédération anarchiste informelle (FAI) dans un message retrouvé sur le lieu de l'explosion à l'ambassade du Chili.
"Nous avons décidé de faire entendre notre voix, avec les paroles et les faits. Détruisons ce système de domination. Vive la FAI, vive l'anarchie. Fédération anarchiste informelle, cellule révolutionnaire Lambros Fountas", selon le bref message. Lambros Fountas est un Grec anarchiste tué en mars à Athènes dans un affrontement avec la police.

D'autres paquets explosifs livrés ?

Dans le message, le groupe exprime également sa solidarité avec "des camarades en prison" et d'autres groupes anarchistes en Argentine, au Chili, en Grèce, au Mexique et en Espagne.
Les enquêteurs italiens ont estimé vendredi "crédible" la revendication de la FAI en raison de l'utilisation pour les colis piégés de cassettes vidéo remplies d'explosif et des fragments de métaux, typique pour les groupes violents d'anarchistes.
Cette affaire sera traitée par le parquet de Rome dans le cadre de l'information judiciaire ouverte jeudi pour "attentat à finalité terroriste". Les magistrats chargés de ce dossier s'étaient d'ailleurs dits jeudi "certains" que d'autres paquets explosifs auraient été livrés.
Le ministre italien de l'Intérieur, Roberto Maroni, avait de son côté privilégié rapidement "la piste anarchiste insurrectionnelle", notamment en raison "d'épisodes similaires qui se sont produits en novembre dernier en Grèce".
Quatorze paquets avaient alors été adressés à des dirigeants européens, dont Angela Merkel, Silvio Berlusconi et Nicolas Sarkozy, et d'autres institutions et ambassades européennes. Ces attentats, qui avaient fait un blessé, avaient été imputés par la police grecque à des extrémistes anarchistes locaux.
Ce n'est pas la première fois que des anarchistes opèrent de façon violente en Italie.
Durant la période de Noël en 2003, ils avaient ainsi fait exploser deux bombes à Bologne (centre nord) près du domicile de Romano Prodi, alors président de la Commission européenne.
Dans les années qui ont suivi, ils s'en sont pris en priorité aux forces de l'ordre.

(Nouvelobs.com avec AFP)

Je ne comprends pas trop pourquoi des personnes envoient des lettres piégées pour handicaper à vie l'employé aux courriers qui travaille dans des ambassades de pays non dictatoriaux.
Les anarchistes ont le droit de citer en Grèce, France, Chili, Italie, ... Ces actions feront en sorte que les services d'Etat surveillent plus les mouvements anarchistes parce que quelques apprentis terroristes s'expriment avec des bombes.
Je comprends lors d'une manifestation que l'on s'attaque à des banques, des sociétés de travail temporaire, ... C'est concret, ces lieux sont des images d'une société que beaucoup de personnes rejettent.
En ce moment, je regarde un reportage sur les entreprises en Tasmanie (déforestation : massacra à la tronçonneuse) qui détruisent des milliers d'hectares de forêts primaires, en coupant des arbres, en en brûlant les trois quarts (?), en s'attaquant judiciairement ou physiquement aux écologistes, en polluant des sols et les eaux tuant des milliers d'animaux dont des espèces protégées. Et des patrons ou représentants de ces sociétés qui se foutent royalement du monde.
Y a vraiment des lettres piégées qui se perdent ...

http://www.google.fr/#hl=fr&tbs=vid%3A1&q=deforestation++tasmanie&aq=f&aqi=&aql=&oq=&gs_rfai=&fp=bae89911d777ea8e

C'est un effet de mode ou quoi ?

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Bombe à Athènes: la police sur la piste d'un groupe anarchiste

Après l'explosion devant un tribunal de la capitale, la police soupçonne un groupe anarchiste radical et se refuse, pour le moment, à faire un lien avec l'attentat contre l'ambassade grecque à Buenos Aires.

La police grecque était mobilisée jeudi 30 décembre après l'attentat à Athènes. Ses soupçons se portent sur un groupe anarchiste radical grec, qui avait revendiqué l'envoi de colis piégés en novembre et dont le procès de membres présumés est prévu le 17 janvier, a-t-on appris auprès de la police.

"L'attentat d'aujourd'hui était une action terroriste préméditée et selon les premières estimations de la police, il semble avoir une mobilisation de groupes extrémistes en vue du procès de membres présumés du groupe "Conspiration des cellules de feu"", a indiqué le porte-parole de la police, Thanassis Kokkalakis.
De son côté, le ministre de la Protection du citoyen Christos Papoutsis a indiqué aux médias que "la police antiterroriste grecque était mobilisée et enquêtait sur toute piste possible".
Une bombe de forte détonation a explosé tôt jeudi devant un tribunal à Athènes faisant d'importants dégâts matériels. Peu avant, un autre engin a explosé à Buenos Aires devant l'ambassade de Grèce provoquant des dégâts mineurs.
Selon Thanassis Kokkalakis il n'y a pas "de preuve de lien pour l'instant entre l'explosion à Athènes et l'attentat à Buenos Aires".
Lié à la mouvance anarchiste grecque, le groupe "Conspiration des cellules de feu" avait revendiqué des attaques aux colis piégés en novembre contre des ambassades étrangères à Athènes et des dirigeants européens qui ont fait un blessé.

Bombe à Buenos Aires

A Buenos Aires, la bombe qui a explosé devant l'ambassade de Grèce a fait des dégâts mais pas de victime, a annoncé la police.
"Il y a eu un engin explosif devant l'ambassade de Grèce", a dit une porte-parole de la police en soulignant que les dégâts n'étaient pas considérables et qu'une enquête était en cours.
Selon un voisin interrogé par une chaîne de télévision, il s'agirait de la "quatrième ou cinquième (attaque contre l'ambassade) mais la plus forte, les autres étant des jets de cocktails molotov".
Quasiment dans le même temps, une autre bombe a explosé devant un tribunal de la capitale grecque Athènes jeudi matin, après un coup de fil d'avertissement qui a permis l'évacuation de la zone, a annoncé une source policière.
Des images de télévision montraient de la fumée s'élevant devant le bâtiment du Tribunal de première instance d'Athènes, dont plusieurs vitres avaient volé en éclats.
Il n'y avait pas d'informations dans l'immédiat sur d'éventuels blessés.
Selon les premières constatations, l'engin, qui a explosé à 8h10 (7h10 heure française), aurait été placé sur une moto, selon la source policière.
"L'explosion était plutôt forte. Je suis à 100 mètres et tout est tombé de mes étagères", a indiqué un commerçant du quartier à la télévision Alter, chaîne qui a reçu l'appel d'avertissement une quarantaine de minutes avant l'explosion et a alerté la police.
Il n'y avait aucune revendication dans l'immédiat de l'attentat, qui intervient deux semaines avant l'ouverture du procès d'une douzaine de membres présumés d'un groupe anarchiste radical, la "Conspiration des cellules de feu".

Suite de la série d'attaques ?

Mais le tribunal visé jeudi ne sera pas celui du procès des membres présumés du groupe anarchiste radical prévu le 17 janvier.
Début novembre la Grèce avait connu une série d'attaques et de tentatives au colis piégés notamment contre des ambassades étrangères, attribuées à la mouvance anarchiste extrémiste.
A Rome la semaine dernière deux colis piégés avaient explosé aux ambassades de Suisse et du Chili, faisant deux blessés. Ils avaient été revendiqués par la Fédération anarchiste informelle (FAI), dans un message retrouvé à l'ambassade du Chili : "Détruisons ce système de domination. Vive la FAI, vive l'anarchie. FAI, cellule révolutionnaire Lambros Fountas". Lambros Fountas est un Grec anarchiste tué en mars à Athènes dans un affrontement avec la police.
Toujours à Rome lundi un paquet contenant des explosifs avait été découvert à l'ambassade de Grèce qui a pu être neutralisé et n'a pas fait de victime.

(Nouvelobs.com avec AFP)

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Rome : un nouveau colis contenant des explosifs découvert

Les artificiers désamorcent actuellement le paquet, retrouvé à l'ambassade de Grèce moins d'une semaine après l'explosion de colis piégés dans les ambassades de Suisse et du Chili.

Un colis piégé du même type que ceux ayant explosé la semaine dernière dans deux ambassades à Rome a été découvert lundi 27 décembre à l'ambassade de Grèce dans la capitale italienne, ont indiqué les carabiniers, tandis que six colis suspects dans d'autres ambassades se sont avérés de fausses alarmes.

Le dispositif désamorcé par les artificiers des carabiniers est "semblable à ceux qui ont explosé la semaine dernière aux ambassades du Chili et de Suisse", a indiqué à l'AFP un porte-parole des carabiniers, Salvatore Cagnazzo. "Le préposé au courrier de l'ambassade l'a ouvert mais il n'a pas explosé".
Le paquet était constitué d'une enveloppe jaune du type de celles destinées à des objets fragiles et contenait un boîtier de CD avec un détonateur.
Jeudi, des colis piégés avaient explosé dans les ambassades de Suisse et du Chili, faisant deux blessés. Ces attentats ont été revendiqués par une fédération anarchiste, proche de groupes extrémistes grecs.

En état d'alerte

Depuis, les représentations diplomatiques de la capitale italienne ont été placées en en état d'alerte.
Le paquet "est arrivé vendredi mais personne ne l'avait ouvert à cause des fêtes de Noël", a indiqué l'ambassadeur de Grèce, Michael Cambanis, cité par La Repubblica sur son site internet.
Des paquets suspects ont également été signalés lundi dans les ambassades de la principauté de Monaco et du Venezuela, mais il s'agissait à chaque fois de "fausses alertes", selon le porte-parole des carabiniers.
Des médias italiens ont fait état également de la découverte de paquets suspects dans les ambassades du Maroc, du Danemark, de Suède et d'Ukraine, mais il s'agirait également de fausses alertes.
Les deux attentats de jeudi ont été revendiqués par la Fédération anarchiste informelle (FAI) dans un message retrouvé sur le lieu de l'explosion à l'ambassade du Chili.
"Nous avons décidé de faire entendre notre voix, avec les paroles et les faits. Détruisons ce système de domination. Vive la FAI, vive l'anarchie. Fédération anarchiste informelle, cellule révolutionnaire Lambros Fountas", selon le bref message. Lambros Fountas est un Grec anarchiste tué en mars à Athènes dans un affrontement avec la police.

D'autres paquets explosifs livrés ?

Dans le message, le groupe exprime également sa solidarité avec "des camarades en prison" et d'autres groupes anarchistes en Argentine, au Chili, en Grèce, au Mexique et en Espagne.
Les enquêteurs italiens ont estimé vendredi "crédible" la revendication de la FAI en raison de l'utilisation pour les colis piégés de cassettes vidéo remplies d'explosif et des fragments de métaux, typique pour les groupes violents d'anarchistes.
Cette affaire sera traitée par le parquet de Rome dans le cadre de l'information judiciaire ouverte jeudi pour "attentat à finalité terroriste". Les magistrats chargés de ce dossier s'étaient d'ailleurs dits jeudi "certains" que d'autres paquets explosifs auraient été livrés.

Le ministre italien de l'Intérieur, Roberto Maroni, avait de son côté privilégié rapidement "la piste anarchiste insurrectionnelle", notamment en raison "d'épisodes similaires qui se sont produits en novembre dernier en Grèce".
Quatorze paquets avaient alors été adressés à des dirigeants européens, dont Angela Merkel, Silvio Berlusconi et Nicolas Sarkozy, et d'autres institutions et ambassades européennes. Ces attentats, qui avaient fait un blessé, avaient été imputés par la police grecque à des extrémistes anarchistes locaux.
Ce n'est pas la première fois que des anarchistes opèrent de façon violente en Italie.
Durant la période de Noël en 2003, ils avaient ainsi fait exploser deux bombes à Bologne (centre nord) près du domicile de Romano Prodi, alors président de la Commission européenne.
Dans les années qui ont suivi, ils s'en sont pris en priorité aux forces de l'ordre.

(Nouvelobs.com avec AFP)

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Le procès des Grecs qui auraient envoyé des colis piégés à des dirigeants européens s'est ouvert
17.01.2011 12:18 - mise à jour: 12:51

La Grèce se penchait lundi sur le groupe qui a revendiqué le récent envoi de colis piégés à des dirigeants européens. Le procès de 13 personnes soupconnées d'appartenir à la Conspiration des cellules de feu s'est ouvert dans la prison athénienne de Korydallos. Agés de 19 à 30 ans, les accusés, dont quatre sont jugés par défaut, doivent répondre de l'accusation d'"appartenance à une organisation terroriste". Ils risquent 10 à 25 ans de prison. Emergé en 2008, le groupe anarchiste a a revendiqué ou s'est vu attribuer des dizaines d'attentats visant magistrats, médias ou décideurs, faisant aucun mort.

http://www.tsr.ch/

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Le Tribunal pénal fédéral à Bellinzone a été la cible d'un incendie criminel lundi matin. Revendiqué par des anarchistes, celui-ci a toutefois rapidement été maîtrisé sans faire de blessés.

Le sinistre paraît intentionnel: des bombonnes de peinture ont été retrouvées sur place et une inscription signée par un mouvement anarchiste a été sprayée à côté de la porte d'entrée: "Feu aux tribunaux. Abattons l'Etat". L'incendie a rapidement été éteint par les pompiers de Bellinzone.

Deux femmes qui travaillaient au troisième étage de l'édifice ont pu quitter les lieux indemnes, a indiqué la police tessinoise lundi. Le feu a endommagé la porte d'entrée principale du bâtiment, également siège de la direction régionale de Swisscom, et la zone alentour. La police n'a encore interpellé aucun suspect.

Valise suspecte à Lugano

Lundi toujours, vers 10h30, la zone du consulat italien dans le centre-ville de Lugano a été isolée par la police cantonale. Une valise suspecte y avait été déposée. Les artificiers l'ont fait sauter, la trouvant vide. Selon un porte-parole de la police tessinoise, interviewé lundi par la Radio de la Suisse italienne (RSI), "la signature des anarchistes" à proximité de l'incendie à Bellinzone, "est préoccupante." L'enquête va se diriger vers ces milieux-là, a-t-il précisé.

Au Tessin, le symbole anarchiste est réapparu à plusieurs reprises en différents endroits: il accompagnait notamment des slogans de soutien au plus célèbre des anarchistes suisses, le Grison Marco Camenisch, incarcéré à Zurich depuis son extradition d'Italie. Aujourd'hui âgé de 58 ans, Marco Camenisch avait beaucoup fait parler de lui dans les années 80.

En Italie, il avait été condamné à douze ans de réclusion pour des nombreux attentats à l'explosif en Italie contre des pylônes électriques. En Suisse, il a été accusé du meurtre d'un garde-frontière commis au poste de Brusio à la frontière entre les Grisons et l'Italie en décembre 1989. Son procès s'est tenu en 2007 à Zurich où l'"éco- terroriste" achève de purger sa peine.

ats/ps

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Solidarité espagnole avec les prisonniers grecs

Des balles pour une ambassade grecque

La sécurité de l'ambassade de Grèce à Madrid a intercepté aujourd'hui une enveloppe suspecte, contenant «cinq balles de petit calibre et un texte de revendication», a indiqué le ministère grec des Affaires Etrangères dans un communiqué.

Le ministère n'a fourni aucun autre détail sur l'affaire, relevant que l'enveloppe avait été confiée à la police espagnole, qui l'avait ouverte. Selon une source du ministère, un colis de même type contenant huit balles de 22 mm et une note en espagnol mentionnant «Attention à la manière dont vous vous comportez avec les prisonniers», avait été découverte mercredi dans le courrier du consulat grec de Barcelone.

L'avertissement pourrait être lié au procès en cours à Athènes de 13 membres présumés du groupe anarchiste Conspiration des cellules de feu. Le groupe a signé depuis 2008 des dizaines d'attentats n'ayant pas fait de mort, dont l'envoi en novembre de colis piégés au pétard à des dirigeants européens et ambassades étrangères.


Leur presse (Agence Faut Payer), 27 janvier 2011.

http://juralibertaire.over-blog.com/categorie-10815705.html

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Le secteur de la santé dit sa colère en Grèce
09/02

Education, transports, santé… La semaine sociale en Grèce est marquée par les grèves et les manifestations. Motif de la colère, encore et toujours l’austérité à laquelle le pays s’astreint en échange de l’aide de l’Union européenne et du FMI.

Ce mercredi, ce sont surtout les médecins, les pharmaciens et les employés du secteur médical qui ont battu le pavé. Ils protestaient contre la réforme du système de santé et son assainissement. Et des échauffourées ont eu lieu entre manifestants et forces de l’ordre.

Parmi les mesures prévues, une réorganisation de la médecine conventionnée et un assouplissement des conditions d’exercice de la profession de pharmacien, le but étant d‘économiser 1,4 milliards d’euros.

Copyright © 2011 euronews

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En Grèce, les classes moyennes sont menacées par la progression de la pauvreté. Avec la crise économique et une cure d'austérité sans précédent imposée dans le pays, le pouvoir d'achat a déjà diminué et l'inflation a progressé de 4,7% en 2010. Les organisations d'entraide s'alarment ; en 2008, d'après Eurostat, déjà 20 % de la population était menacée par la pauvreté.REPORTAGE

http://fr.euronews.net/nocomment/2011/01/21/des-oeufs-pourris-pour-les-policiers-grecs/

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La Grèce tourne au ralenti mercredi, jour de grève générale contre l'austérité dans le privé et le public
23 février 2011 10:52

La Grèce tourne au ralenti mercredi, jour de grève générale contre l'austérité à l'appel des centrales syndical du privé et du public. Le Premier ministre Georges Papandréou tente lui d convaincre ses partenaires de la zone euro de desserrer l'étau sur son pays Sans liaisons maritimes avec les îles pour 24h, ni dessertes ferroviaires, privé d'une partie des transports urbains, le pays voit aussi son trafic aérien perturbé en raison d'un arrêt travail des contrôleurs du ciel. La grève, la première de l'année aprè sept journées d'actions en 2010, affe te aussi les hôpitaux et les écoles.

http://www.tsr.ch

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Grèce: Une nouvelle grève prévue en mai contre le plan d’austérité
Mis à jour le 12.04.11 à 15h32

Le grand syndicat de la fonction publique grecque, AEDEDY, a lancé ce mardi un mot d'ordre de grève de 24 heures au mois de mai pour dénoncer le plan d'austérité mis en œuvre en 2010 par le gouvernement en échange d'une aide financière d'urgence du FMI et de l'Union européenne.

Alors que certains redoutent une restructuration de la dette en raison de rentrées fiscales insuffisantes, le gouvernement socialiste de Georges Papandréou doit annoncer cette semaine comment il entend réduire les dépenses et augmenter les recettes sur la période 2012-2014.

«Nous organiserons une grève de 24 heures en mai pour protester contre la politique d'austérité du gouvernement qui frappe uniquement les travailleurs», a dit à l'agence Reuters Ilias Iliopoulos, secrétaire général d'ADEDY. Il a avancé l'hypothèse du 11 mai pour cet arrêt de travail.

Le 23 février, quelque 100.000 Grecs avaient défilé dans les rues d'Athènes pour dénoncer la politique d'austérité du gouvernement.

20Minutes - Reuters

Solidarité bretonne

http://uk.news.yahoo.com/video/reutersworldnews-1695328/greek-strike-turns-ugly-eu-aid-slow-25194387.html

Chasse à l'immigré dans les rues d'Athènes ?

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Grèce: Des anarchistes font irruption dans un hôpital d'Athènes
Mis à jour le 11.05.11 à 22h34

Plusieurs dizaine de militants anarchistes ont fait irruption mercredi soir dans un hôpital d'Athènes où avait été admis un peu plus tôt dans la journée un manifestant grièvement blessé lors d'une manifestation contre l'austérité, a-t-on appris de source policière.

Le visage masqué, ces 150 anarchistes ont pris d'assaut les locaux de l'administration. Trois policiers qui se trouvaient sur place ont été passés à tabac, ajoute-t-on de même source. Deux d'entre eux ont été légèrement blessés, le troisième présente des chocs plus sérieux à la tête.

Le manifestant hospitalisé, qui est âgé de 31 ans, a été blessé lors d'affrontements avec les forces de l'ordre en marge du rassemblement contre la rigueur organisé par les syndicats du public et du privé.

Ioannis Kafkas, qui a subi une opération au cerveau, est dans un état critique, selon le ministère de la Santé, mais les médecins ont réussi à le stabiliser.

Reuters

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Liberté pour Aris Seirinidis !

L'anarchiste grec Aris Seirinidis est en prison depuis un an à Athènes. Il a été arrêté le 3 mai 2010 lors d'un contrôle de police de routine. C'était alors le début de la vague de protestation contre le plan du FMI et des banques européennes, ainsi que contre les mesures d'austérité décidées par le gouvernement du socialiste grec Papandréou.

Aris Seirinidis a d'abord été accusé d'un hold-up, ce qui s'est vite avéré sans fondement. La police a ensuite avancé la nouvelle accusation d'un coup de feu contre un car de CRS, assorti de dix-sept tentatives de meurtre alors qu'un seul tir avait été entendu. Pour preuve, la police a affirmé détenir un masque anti-lacrymogène contenant des traces d'ADN d'Aris, trouvé sur les lieux mêmes de l'agression supposée, dans le quartier populaire d'Exarchia. Mais le témoin qui prétend avoir vu Aris enlever ce masque après les faits n'a pas été vu sur place. Il n'est jamais apparu lors du procès, commencé seulement en mars dernier, et à son adresse ne se trouve qu'une maison inoccupée depuis 1988.

Depuis, tout est fait pour reporter la suite du procès. Après l'avoir ajourné, la juge est soudainement tombée malade, et comme les congés d'été sont proches, il y a fort à parier qu'Aris restera encore de longs mois en prison sans jugement.

Ce procès, ou plutôt cette parodie de procès, est un coup porté contre un militant connu, mais aussi contre le mouvement de protestation et de grèves en riposte aux attaques antiouvrières du gouvernement. Bien d'autres militants anarchistes sont en prison : c'est le cas de Simos Seisidis, blessé par derrière et sans sommation par le tir d'un policier, puis laissé sans soin jusqu'à ce qu'il soit nécessaire de lui amputer une jambe.

Aris Seirinidis doit retrouver immédiatement la liberté !

Éric TOLIAN, LO

http://mespetitesfables.blogspot.com/2011/06/revolte-populaire-de-masse-en-grece.html

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Grève générale en Grèce contre la cure d'austérité
Publié le 15-06-11 à 07:31
Au même moment, l'Union européenne et le FMI débattent de l'éventualité d'une seconde aide financière à la Grèce et ont bien du mal à s'entendre sur les modalités de son déblocage.

[center]

L'administration, les commerces et les transports vont être perturbés mercredi 15 mai en Grèce où les syndicats ont lancé un appel à une grève de 24 heures ainsi qu'à des manifestations à Athènes et dans les grandes villes du pays, contre l'austérité et les privatisations.

Toutefois, le syndicat des contrôleurs aériens a annoncé mardi avoir suspendu son appel à une grève de 24 heures afin de ne pas entraver le transport aérien, vital pour le tourisme, principal moteur de l'économie du pays.

Le transport maritime sera sérieusement perturbé, aucun bateau n'est prévu vers les îles grecques en mer Egée (est) et Ionienne (ouest) en raison d'une grève à l'appel du syndicat des marins.

Les chemins de fer ne vont pas fonctionner tandis que les écoles et les ministères seront pour la plupart fermés. Aucun bulletin d'information ne sera transmis. Les transports urbains vont effectuer des arrêts de travail de trois heures en début et en fin de journée.

Austérité et Indignés

L'appel à la grève générale est le troisième depuis le début de l'année lancé par les principaux syndicats du pays, GSEE (privé) et Adedy (public), pour dénoncer le nouveau plan d'austérité et de privatisations qui doit être voté au parlement d'ici fin juin afin de réduire la dette et le déficit du pays.

"Tous ensemble unis pour rompre les chaînes du mémorandum (plan d'austérité NDLR)", est le mot d'ordre des deux syndicats, inscrit sur leurs affiches.

Trois manifestations distinctes sont prévues mercredi à Athènes.

Le mouvement des Indignés grecs qui campent pacifiquement depuis trois semaines en plein coeur d'Athènes sur la place de Syntagma devant le parlement prévoit de former une chaîne humaine autour du parlement mercredi matin, jour du début de l'examen parlementaire du plan d'austérité.

Vers 8h GMT, le Front de lutte des travailleurs (Pame, pro-communiste), doit se rassembler dans le centre ville tandis qu'un peu plus tard un défilé vers le parlement est prévu par les syndicats GSEE et Adedy.

Pas d'accord sur l'aide

Les nouvelles mesures interviennent alors que les créanciers du pays, l'Union européenne et le Fonds monétaire international, débattent de l'éventualité d'une seconde aide financière à la Grèce et ont bien du mal à s'entendre sur les modalités de son déblocage.

Un premier prêt de 110 milliards d'euros consenti au pays sur trois ans en mai 2010 accompagné d'un premier plan de rigueur s'est avéré insuffisant pour permettre à la Grèce de retourner sur les marchés internationaux afin de financer elle-même son énorme dette (plus de 150% du PIB).

Défection socialiste

Un député socialiste grec a démissionné mardi de son groupe parlementaire pour protester contre la politique économique, réduisant à 155 sièges sur 300 la majorité gouvernementale en vue du vote crucial, fin juin, sur le plan de redressement dicté par l'UE et le FMI, ont annoncé les médias.

"Je ne crois plus en cette politique (...) nous avons échoué et devons sans cesse cacher la vérité au peuple (...), nous devons reconnaître notre erreur, présenter nos excuses aux Grecs et changer de politique", écrit notamment le député.

Le Nouvel Observateur avec AFP